En 1964, Gerald Gateau récupéra des morceaux d’un alliage qui après analyse s’avéra être principalement composé de ferro-silicium, mâtiné de manganèse, de titane, de cuivre et d’étain. Quoi de plus banal, si ce n’est que cette trouvaille fut réalisée à l’emplacement même où il a vu décoller un OVNI quelques jours plus tôt, et que sa structuration comporte des caractéristiques moins communes que sa composition. Des recherches récentes donnent une autre dimension à cette affaire.
Pourquoi faire ressurgir en 2022 une affaire vieille de presque 60 ans ?
D’abord d’un point de vue personnel, les hasards de la vie m’ont donné l’occasion d’être momentanément en contact avec un des objets trouvés par Gérald Gateau le samedi 28 mars 1964.
Ensuite parce que si il n’est pas si fréquent que des OVNI laissent des traces après leur passage, il l’est encore moins que de telles pièces y subsistent, constituant ainsi autant de preuves solides qui pourraient venir émailler le paradigme des moins sceptiques, parce que pour les autres il est de notoriété publique que l’on ne saurait faire boire un âne s’il n’a pas soif.
Il n’est pas non plus si commun que les évidences en question soient encore accessibles au vulgum pecus, ainsi que le prouve la disparition des cinq autres pièces, dont certaines furent pourtant confiées à l’expertise de services officiels d’un pays démocratique comme la France.
Enfin, les outils de communication et de diffusion de l’information dont disposent le peuple sont aujourd’hui sans commune mesure avec ceux des années 60. Ces nouveaux moyens nous permettront éventuellement de faire le rapprochement avec des matériaux présentant des particularités similaires, qui ont peut-être déjà été trouvées ailleurs à d’autres époques, suite à un atterrissage d’OVNI ou dans d’autres circonstances qui n’auraient rien à voir avec l’ufologie. Ils nous permettront peut-être également de nous éclairer sur l’intérêt de ce genre d’alliage tel quel pour un OVNI, sur la raison pour laquelle un OVNI laisserait derrière lui de telles pièces, ou encore s’il s’agit d’artefacts, des déchets provenant de l’OVNI, ou des pièces venues d’ailleurs et simplement transportées avant d’avoir été déposées sur terre.
Déjà les réponses envisageables que vous découvrirez dans cet article grâce à l’avancée des recherches dans ce domaine depuis les années soixante, et disponibles sur internet gratuitement pour tous ceux qui veulent bien se donner la peine de quérir des réponses, ouvrent la porte à certaines perspectives. Ces dernières, pour peu que l’on ne s’arrête pas aux apparences en balayant d’un revers de main les incohérences qui pourraient empêcher un statut référençable, bouleversent nos repères et donne une autre « dimension » à l’affaire. Mais c’est le lot quotidien des chercheurs dignes de ce nom que de ne jamais être un seul instant l’esclave de la découverte mais à jamais le vassal de la vérité1, et ce qui fait leur probité contrairement à ceux qui font disparaitre des preuves en mesure de faire vaciller des certitudes, et gardent ainsi le contrôle en cultivant la désinformation.
C’est le samedi 28 mars 1964 dans l’Aube vers six heures du matin que Gérald Gateau vu ce qu’il crut d’abord être « une citerne à bestiaux2 », jusqu’à ce que ce que l’objet d’apparence métallique, d’une dizaine de mètres de long sur à peu près quatre mètres de haut, s’éloigne du sol très rapidement. Le « qu’en-dira-t-on » du voisinage étant à l’époque plus important que la notoriété, et les réseaux sociaux qui ont inversé la donne n’existant pas encore, Gérald Gateau ne dit mot à personne de cette expérience.
Une semaine plus tard, le témoin repasse à la même heure au même endroit où il ne remarque plus rien de particulier, ce qui le turlupine, allant jusqu’à se demander s’il n’a pas inventé cette histoire.
Toujours un samedi, mais un mois et demi après, Gérald Gateau s’arrête aux abords des lieux qui hantent désormais ses seules pensées. Il s’avance vers l’endroit d’où la « citerne » s’est envolée, un pré dont l’herbe est rase, plus ou moins grillée par le gel de l’hiver. C’est à cet emplacement qu’il découvre six morceaux de métal brillant sur le sol qu’il s’empresse de récupérer.
Une dizaine d’années passa jusqu’à ce qu’à la fin des années 70, le GEOS3 organise une conférence sur les OVNI à Saint Julien. Il faut préciser que la zone est particulièrement sujette au phénomène4 dans la décennie qui précède et celle qui suit notre affaire. Des apparitions aériennes sous forme de boules lumineuses ou de cigares argentés, jusqu’aux engins qui laissent des traces, que des témoins voient décoller après avoir aperçu leurs occupants et avoir été victime de leur influence à distance, l’Aube de l’époque coche quasiment toutes les cases de la Classification initiale de Hynek5. Et le phénomène ne se limitait pas à la région troyenne lorsque l’on sait que dès 1954 il a été créé, au ministère des Armées, une commission des témoignages, comme le confirment les déclarations publiques en 1974 du ministre des Armées. Ce dernier, Robert Galley, qui se trouvait également être maire de Troyes, déclare à la même occasion au sujet des OVNI qu’ « il est certain qu’il y a des choses que l’on ne comprend pas6 » ! Ces propos furent largement relayés par la presse nationale de l’époque.
Un journaliste régional, Guy Capet, intervient dans cette conférence à laquelle Gérald Gateau décide de se rendre en simple spectateur. C’est à la fin de la manifestation que, convaincu de la bonne foi de l’intervenant, notre témoin décide de lui délivrer une partie de son secret devenu trop lourd à porter. Le 19 octobre 1978, le magazine Terroir 22 de FR3 diffuse un reportage de 20 minutes consacré aux apparitions d’ovnis dans lequel on peut visionner le témoignage filmé quelques jours plus tôt.
Vous aurez remarqué que lors de l’entretien, le témoin n’évoque pas les six morceaux de métal… Une heureuse intuition puisque le journaliste ayant gagné la confiance de notre témoin, ce dernier décida de lui envoyer cinq des six pièces composant sa découverte.
Il n’en revit jamais la couleur !
La seule trace de cette transmission fut le courrier d’Alain Esterle, directeur du GEPAN7, en date du 3 août 1979 qui conclut que la composition de la pièce « suggère (sic) fortement un produit de fonderie, d’industrie métallurgique8 ». Votre attention aura retenu que je ne parle là que d’une pièce transmise au GEPAN. Ensuite un colis recommandé accompagné d’une lettre écrite le 14 août 1979 du journaliste Guy Capet à Alain Esterle du GEPAN parle de « trouver ci-joint un des deux morceaux de métal9 ». Donc dès le départ Guy Capet ment sur le nombre de pièces, puisque de cinq on passe à deux. Lui seul sait ce qu’il est advenu des trois autres pièces.
Heureusement, notre témoin, homme de terroir empli de bon sens, garda une des preuves en sa possession jusqu’au jour où il croisa la route d’Hugo Nhart. Le journaliste d’investigation entreprend de faire réaliser d’autres analyses grâce aux relations de valeur que son éthique lui aura permis d’établir au fil de sa carrière. Celles-ci soulèvent de nouvelles questions contrairement au travail du GEPAN et à celui de ses successeurs le SEPRA10, puis aujourd’hui du GEIPAN11, dont la priorité semble davantage consister à tout banaliser plutôt qu’à réaliser des études exhaustives quitte à ce qu’elles dérangent quelques certitudes. C’est ainsi que le laboratoire d’EDF qui, sans savoir d’où provenait l’échantillon, révéla que « l’analyse effectuée par diffraction des rayons X indique la présence d’un corps amorphe et non amorphe. Ceci est très singulier. (…) Ce morceau de métal pose un problème original par une explication vraisemblable des « porosités » macroscopiques notées sur l’objet sous forme d’alvéoles cylindriques allongées et orientées. L’objet ne peut correspondre ni à une chute de météore, ni à un débris de satellite. Il est d’origine artificielle et a été déposé sur le sol. (…) Pourquoi ce matériau bizarre ? Aucune hypothèse sur l’origine de ce matériau ni sur son éventuelle utilisation, ni sur le processus de fabrication ne retiennent notre attention. Dans quel but fut-il produit ? Où ? Et par qui12 ? »
Fort de ces dernières analyses qui prouvent que l’objet n’est pas commun, mais surtout du silence de l’organisme officiel censé nous éclairer sur ce genre d’affaires, et de son incompétence à archiver des preuves ou de sa capacité à les faire disparaître, Hugo Nhart acculera le responsable du SEPRA dans ses retranchements lors de l’émission « Faut pas pousser » du 25 avril 1994.
A la suite d’une nouvelle émission télévisée, le mercredi 21 juin 1995, TF1 revenait sur le cas Gérald Gateau au cours du premier numéro de son émission « L’Odyssée de l’étrange ».
Il s’en suivit une expertise du laboratoire « Serma Expertises » situé à Pessac près de Bordeaux, dont les conclusions sont sans appel : « Si la bonne foi de l’inventeur de l’objet ne peut être mise en cause et si la situation géographique du lieu de découverte ne peut expliquer la présence du rognon, on ne peut penser qu’à une bonne plaisanterie13 »… Evidemment il n’y a aucun commentaire sur la cristallisation aléatoire, ni sur le parallélisme relatif des bulles dont la forme oblongue pose elle-même question. Car en général, la substance à l’intérieur d’une bulle tentera de se regrouper dans une répartition qui minimise son contact avec l’extérieur et formera ainsi une bulle sphérique, car les sphères ont la plus petite surface de toutes les formes, pour un volume donné14. A moins qu’une autre force viennent s’exercer sur la bulle, ou sur l’ensemble. Mais pourquoi s’embarrasser de ce genre d’incongruités lorsque des généralités mâtinées d’une certaine condescendance dans leur rédaction suffisent à faire rentrer l’affaire dans un modèle standard qui peut être facilement catalogué ?
Je reviens sur le côté « amorphe et non amorphe » du matériau, à savoir cristallisé et non cristallisé. Déjà un scientifique dont le nom n’est pas révélé par l’auteur, affirme que l’on ne peut recréer les mêmes particularités bien que possédant les mêmes bases d’alliage15. Mais surtout, les déclarations plus récentes de Garry P. Nolan relancent le débat sur les matériaux anormaux provenant d’accidents d’OVNI, ou de matériaux éjectés sur des sites d’observations d’OVNI.
Garry P. Nolan est à la base un immunologiste américain, universitaire, un inventeur et un dirigeant d’entreprise qui détient la chaire de professeur Rachford et Carlota A. Harris au sein du département de pathologie de la faculté de médecine de l’université de Stanford. Il a fondé ou cofondé de nombreuses entreprises, et c’est également un inventeur prolifique qui détient quarante brevets américains16.
Il a commencé son approche par l’étude des PAN (phénomène aérospatial non identifié) sur le cerveau humain pour ensuite s’intéresser aux évidences laissées par les UAP (Unidentified Aerial Phenomenon), comme le Pentagone les désigne depuis les années 1960. Il en résultat notamment une étude, avec Jacques Fabrice Vallée (informaticien, astrophysicien, ufologue et auteur français de science-fiction) comme co-auteur, qui passe en revue les procédures analytiques modernes, y compris la spectrométrie de masse, pour la caractérisation, l’analyse et l’identification de matériaux inconnus et comment ceux-ci ont été appliqués jusqu’à présent pour étudier des matériaux qui, selon des témoins, sont tombés d’OVNIS en vol stationnaire17.
Je reprends les propos de Garry P. Nolan au sujet des matériaux en question : « Certains des objets sont indescriptibles et ne sont que des morceaux de métal. Surtout, il n’y a rien d’inhabituel à leur sujet, sauf que partout où vous regardez dans le métal, la composition est différente, ce qui est étrange. C’est ce qu’on appelle inhomogène. C’est une façon élégante de dire "incomplètement mélangé". La chose commune à tous les matériaux que j’ai examinés jusqu’à présent, et il y en a environ une douzaine, est que presque aucun d’entre eux n’est uniforme. Ce sont tous ces mélanges méli-mélo. Chaque cas individuel sera composé d’un ensemble similaire d’éléments, mais ils seront inhomogènes. (…)
Alors, maintenant, regardons ce que ces matériaux sont censés être. Dans presque tous les cas, ce sont les restes d’une sorte de processus que ces objets recrachent (NDLR : cette fois l’ « objet » est l’OVNI). Alors vous allez voir les cas où du métal en fusion tombe de ces objets. (…)
Une hypothèse serait que le matériau qu’il décharge fait partie du mécanisme utilisé par l’objet pour se déplacer, et lorsque les choses se dérèglent, l’objet doit le décharger. Il laisse simplement tomber ce truc au sol, un peu comme l’échappement.
Cela soulève la question (en supposant encore une fois que les choses sont réelles): à quoi servent-ils ?
S’il y a des rapports isotopiques modifiés, utilisent-ils les rapports isotopiques modifiés ?
Les rapports modifiés sont-ils le résultat du mécanisme de propulsion ?
Encore une fois, pure spéculation : Lorsque les rapports sont si détraqués, doivent-ils se décharger parce que ce n’est plus utile pour la propulsion ?
Des gens plus intelligents que moi trouveront de meilleures raisons, mais c’est le plaisir de la science.
Les données sont là… pas l’explication18. »
Dans la conclusion de l’article, Garry P. Nolan ouvre des perspectives de recherche : « Quiconque conçoit des matériaux de nos jours pour faire n’importe quel type d’électronique et de photonique avancées comprend que la position des atomes dans la structure est importante. Il y a une chose qui est souvent utilisée en biologie et qui s’appelle la relation structure-fonction. La structure définit la fonction. Parfois, si vous pouvez juste voir la structure, vous pouvez comprendre la fonction. Je peux regarder un cœur et observer un peu comment il bouge et comprendre sa fonction. Je peux regarder les tubes dans vos veines et dire que leur fonction est de transporter le sang. Lorsque nous examinons la structure des cellules, lorsque nous voyons la structure d’une protéine, nous pouvons avoir une idée de son fonctionnement. C’est donc vraiment de cela qu’il s’agit. La prochaine frontière de l’étude des matériaux est atomique. Si vous voulez comprendre quelque chose de très avancé. »
Si vous êtes des fidèles lecteurs des articles publiés sur ce site, vous savez que j’aime me référer aux ouvrages de Blavatsky, dont la complexité rébarbative de prime abord s’éclaire au fur et à mesure que nous avançons dans nos connaissances. Voici ce qu’elle écrit au sujet des caractéristiques de la matière : « (…) il est parfaitement possible que le progrès de l’évolution doive nous présenter de nouvelles caractéristiques de la matière, celles avec lesquelles nous sommes déjà familiers sont réellement plus nombreuses que les trois dimensions. (…) Les trois dimensions n’appartiennent, en réalité, qu’à un seul des attributs, ou caractéristiques, de la matière – l’extension et le sens commun ordinaire se révolte, avec raison, contre l’idée que, dans quelque état que ce soit, les choses puissent avoir plus que les trois dimensions de longueur, de largeur et d’épaisseur. Ces termes, et le mot "dimension" lui-même, appartiennent tous à un seul et même plan de la pensée, à un seul et même stade de l’évolution, à une seule et même caractéristique de la matière. Tant que le Kosmos disposera de pieds-de-Rois (NDLR : ancienne unité française de mesure de longueur) pour les appliquer à la matière, celle-ci ne pourra être mesurée que de trois façons, pas davantage, de même que, depuis l’époque où l’idée de mesure s’est insinuée dans l’esprit humain, il n’a été possible d’en faire l’application que dans trois sens seulement. Mais ces considérations ne militent en aucune façon contre la certitude que, dans le cours des temps, les caractéristiques de la matière se multiplieront concurremment avec les facultés humaines. En attendant, cette façon de s’exprimer est encore bien moins correcte que celle que nous employons si couramment pour parler du "lever" et du "coucher" du soleil19. »
A croire que quel que soit le bout par lequel j’étudie le phénomène ufologique, il me conduit toujours à la même hypothèse, celle que j’avançais dans mon dernier article20. A savoir qu’il existe un rapport indéniable entre ce qui se passe dans le monde quantique et ce qui concerne les OVNI. Les apparitions et disparitions spontanées des OVNI, la substitution de la réalité dont font état certains témoins rapprochés, et maintenant l’hypothèse que la fonction de ces matériaux seraient compréhensibles si on les étudiait selon un angle qui suivrait « des règles différentes, plus proche du monde quantique », forment une convergence qui n’est certainement pas due au hasard. Comme je l’écrivais alors, la communication que nous sommes en mesure d’établir avec des mondes existant dans des dimensions parallèles démontre qu’il existe au moins un moyen psychique de liaison par l’intermédiaire de l’ayahuasca. L’OVNI pourrait donc être un autre moyen, technique cette fois-ci, de réaliser une telle liaison entre différentes dimensions. Sa technologie permettrait d’évoluer d’une dimension à une autre en supportant les éventuels changements de règles physiques ou chimiques qui s’appliquent à ces différents univers. Et les particularités des matériaux éjectés sur des sites d’observations d’OVNI, aux composants facilement identifiables, mais à la structuration difficilement explicable (bulles oblongues, cristallisation aléatoire), pourraient être une des conséquences d’un passage instantané d’une dimension (celle dans laquelle se maintient l’OVNI pour fonctionner) à une autre (celle dans laquelle nous évoluons ici-bas). Ce qui, dans un référentiel relativement étranger à nos connaissances, se présenterait comme un composé liquide, chargé d’alimenter l’engin en énergie, se trouverait donc précipité sous une autre forme, durcie, une fois confronté aux lois physiques et chimiques qui régissent notre monde. Voyez le gallium, un métal au point de fusion bas (29,76 °C), aux capacités étonnantes d’oxydation de l’aluminium21, et à l’avenir prometteur en tant que composant principal du premier moteur en métal liquide22. Il nous permet d’imaginer les possibilités, mais aussi les risques, que pourraient receler certains alliages selon l’environnement dans lequel ils évoluent, et les conséquences à envisager des éventuels changements intempestifs auxquels ils pourraient être soumis.
Nous savons déjà depuis la naissance de la physique quantique que la physique classique, qui décrit parfaitement notre environnement quotidien macroscopique, devient inopérante à l’échelle microscopique des atomes et des particules23. En leur temps certains ont osé briser un tabou, et affirmer que les lois du monde quantique diffèrent de celles du monde macroscopique. Sachons accueillir avec bienveillance ceux qui demain viendront soutenir qu’il en est de même en ce qui concerne les mondes parallèles, les autres dimensions, et ce afin de contribuer au progrès de notre évolution, et d’avancer vers la vérité.
Article mis en ligne le 24 mars 2022.
3 Groupement d’Etudes des Objets Spatiaux de France.
4 Jacques Schweitzer (1924-2021), O.V.N.I. dans l'Aube, sur le site internet Troyes et l'Aube d'hier à aujourd'hui... – https://www.jschweitzer.fr/c-est-notre-histoire/o-v-n-i-dans-l-aube/
6 Yvesh, OVNIs et divulgation : le Ministre des Armées françaises l'a fait en 1974, Sciences-Faits-Histoires, 2 février 2015 – https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-et-divulgation-le-ministre-des-armees-francaises-l-a-fait-en-1974.html
7 Alain Esterle dirigea le Groupe d'étude des phénomène aérospatiaux non-identifiés (GEPAN) de 1978 à 1983.
8 Hugo Nhart, op. cit., page 164.
9 Hugo Nhart, Le Dissident du Silence, édition à compte d’auteur, 1999, page 256.
10 Service d'Expertise des Phénomènes de Rentrées Atmosphériques (1988-2004).
11 Groupe d'études et d'informations sur les PAN (Phénomènes Aérospatiaux Non-Identifiés).
13 Hugo Nhart, op. cit., page 170.
14 Sam Zylberberg, Pourquoi les bulles sont-elles rondes ?, Comprendre, apprendre et retenir avec JeRetiens, 7 septembre 2021 – https://jeretiens.net/pourquoi-les-bulles-sont-elles-rondes/
15 Hugo Nhart, op. cit., page 167.
17 Dr. Jacques Fabrice Vallée & Dr. Garry Nolan, WHAT DO WE KNOW about the material composition of UFOs ?, Paris, juin 2017 – https://www.academia.edu/37136826/
What_do_we_Know_about_the_Material_Composition_of_UFOs
18 Thobey Campion, Stanford Professor Garry Nolan Is Analyzing Anomalous Materials From UFO Crashes, Vice, 10 décembre 2021 – https://www.vice.com/en/article/n7nzkq/stanford-professor-garry-nolan-analyzing-anomalous-materials-from-ufo-crashes
19 Helena Petrovna Blavatsky, La doctrine secrète, tome 1 : La cosmogenèse - L'évolution cosmique - Les stances de Dzyan, éditions Adyar, 1994, pages 238 et 239.
20 L’enseignement de l’inconscient, conspiration.org, 2 novembre 2020 – http://conspiration.com.free.fr/enseignement_inconscient.html
21 Rahman Moonzur, Surprenant gallium, Techniques de l’ingénieur, posté le 1 août 2012, voir dernier paragraphe : L’aluminium et le gallium, frères ennemis ? – https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/surprenant-gallium-25064/
22 Mathieu M., Science : un moteur de métal liquide, Génération Nouvelles Technologies, samedi 21 mars 2015 – https://www.generation-nt.com/moteur-metal-liquide-actualite-1913155.html
23 L'ESSENTIEL SUR... La mécanique quantique, CEA, 15 mai 2019 – https://www.cea.fr/comprendre/Pages/physique-chimie/essentiel-sur-mecanique-quantique.aspx
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