Micro ondes
mais
maxi danger
L'étude que tout le monde cache
Hans Hertel est diplômé en sciences techniques de
lÉcole polytechnique fédérale de Zurich et est lauteur dune thèse
soutenue à lInstitut des sciences vétérinaires de Zurich. Retraité, il réside
à Wattenwil (canton de Berne) et il poursuit à titre privé des recherches dans un
laboratoire quil a installé pour son propre compte. Il a été le premier savant à
imaginer et à mener à bien une étude qualitative sur les effets que peuvent avoir, sur
le sang et la physiologie humaine, les aliments passés par le four à micro-ondes. Cette
étude, brève mais bien menée, montrait fermement du doigt le pouvoir de
dégénérescence des fours à micro-ondes et de la nourriture y étant préparée. Elle
comptait huit participants dont, avec Hans Ulrich
Hertel, Bernard H.Blanc professeur à
luniversité de Lausanne et conseiller technique à lÉcole polytechnique
fédérale de Lausanne, et l'institut universitaire de biochimie. La conclusion était
claire :
" La cuisson par micro-onde modifie les
substances nutritives de telle sorte que les changements se produisent également dans le
sang des participants à l'étude. "
Des modifications révélatrices ont été découvertes dans le sang
de volontaires ayant consommé des aliments cuits au micro-ondes, dont une diminution de
tous les taux et proportions d'hémoglobine et de cholestérol, spécialement le
HDL (le
bon cholestérol) et le LDL (le mauvais cholestérol). Le taux de lymphocytes (globules
blancs) montrait une diminution à court terme plus évidente qu'après la consommation
d'aliments cuits ou réchauffés d'une autre manière.
On pouvait de plus noter sur ces sujets une association très significative entre les
quantités d'énergie par micro-ondes dans les aliments testés et la puissance lumineuse
de bactéries luminescentes exposées au sérum des personnes ayant mangé cette
nourriture. Les résultats montrent à lévidence que les aliments
irradiés irradient à leur tour et que cette influence prolongée sur le sang doit être
prise au sérieux car il sagit alors dune irradiation directe dont on ne
connaît que trop les conséquences.
Le rapport de recherche datant du mois de juin 1991, et intitulé Vergleichende
Untersuchungen über die Beeinflussung des Menschen durch konventionell und im
Mikrowellenofen aufbereitete Nahrung (« Etude comparative de linfluence
pour l'homme d'aliments préparés de manière conventionnelle et au four à
micro-ondes »), conclut comme suit :
" Les conséquences mesurables chez
lhomme induites par des aliments traités aux micro-ondes présentent, au contraire
de ceux qui nont pas subi ce traitement, des modifications du sang qui semblent
indiquer le stade initial dun processus pathologique tel quil se présente
lors du déclenchement dun état cancéreux. "
Le trimestriel Journal Franz Weber consacra une partie de son dix-neuvième
numéro (janvier, février et mars 1992) aux effets de lutilisation des fours à
micro-ondes sur la santé humaine.
Il déclara dans son éditorial qu'il fut le premier au monde à mettre le doigt
sur les dangers des fours à micro-ondes, et qui a maintenu ses accusations malgré les
attaques massives de la part des promoteurs.
" Aujourdhui, la science nous donne raison. Les fours à micro-ondes
devraient être interdits. Nous ne serions pas étonnés si les chercheurs qui ont eu le
courage de défendre les résultats de leurs recherches étaient attaqués à leur tour,
vu que des millions, voire des milliards sont en jeu. Mais la vérité est à la longue
plus durable quune affaire de milliards réalisée aux dépens de notre
santé.
"
Stérilisation alimentaire
La production artificielle de micro-ondes se fonde sur le principe du courant
alternatif. La matière (atome, molécule, cellule) qui est irradiée par ce rayonnement
électromagnétique subit ainsi une contrainte en rapport avec une fréquence de
rayonnement de un à cent milliards dinversions de polarité ou doscillations
par seconde. Aucun atome, aucune molécule, aucune cellule dun organisme vivant ne
serait en mesure de résister à des forces destructrices dune telle puissance,
fût-elle de lordre de grandeur du milliwatt.
Les rayonnements utilisés dans la stérilisation alimentaire sont des rayons
gamma, rayon dont le nombre d'oscillation atteint 100 quintillions par seconde.
Daprès le groupe de coalition pour la santé publique réuni en juillet 1999,
(composé entre autres de linstitut américain de la viande, de lassociation
américaine pour la diététique, dexperts académiques, et de la Food Irradiation
Coalition) la Food and Drug Administration (FDA) devrait agir rapidement pour approuver
lutilisation de lirradiation dans les produits alimentaires. Ce procédé
permettrait lélimination des germes porteurs de maladies que lon peut trouver
dans les hot dog, les légumes, les fruits et jus de fruits. Lirradiation peut
définitivement tuer une bactérie telle la listeria monocytogenes, responsable de 21
morts cette année par contamination de hot dog vendus par le groupe Sara Lee
Corp.
Mais les groupes de consommateurs sont inquiets, et ce à juste titre, en ce qui concerne
la santé alimentaire des enfants et des personnes âgées qui saffaiblissent par
une consommation, même infime, de rayons gamma.
Conclusion
La prudence est de mise face aux
OGM, les médias sont mobilisés, le vilain
Monsanto
n'est pas près de franchir les frontières de l'hexagone... On nous rassure depuis les
plus hautes sphères de l'Etat. Mais tout les matins, quand nous enfournons notre tasse de
café dans notre micro onde, nous concoctons nous même notre ration d'organismes
électro-magnétiquement modifiés. Nous ne connaissons pas encore l'effet que pourraient
avoir à long terme les
OGM sur notre santé. Par contre nous sommes en possession de
nombreuses études en ce qui concerne les
rayonnements
électromagnétiques et leurs effets à court et à long terme sur notre corps. Mais
tant que l'opinion publique n'a pas découvert le pot aux roses, rien ne change. Alors
faîtes circuler l'information et redécouvrez le doux frémissement du café sur le bord
de la casserole qui vous indique qu'il est temps d'éteindre la gazinière.
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