 
  
  C'est en 1976 que le sol martien nous livra ses secrets grâce à la  sonde Viking Orbiter. Il s'agit d'une vue électronique de la région de l'hémisphère nord située sur le 41éme
    parallèle martien que l'on appelle Cydonia Mensae.  De
    nombreux éléments nous font nous interroger sur la nature et sur l'élaboration de ce
    qui figure sur ce cliché : forteresse, pyramide à cinq faces, anneau, tertre. Et surtout
    le "
visage" : un sphinx
    rocheux de 2,5 km de long et de 1,5 de large tourné vers le ciel.

  Et ce n'est que récemment que Marc Carloto a mis à jour la partie du
    visage dans l'ombre afin de l'harmoniser avec la partie éclairée. On constate alors que
    la partie droite ne ressemble pas à la partie gauche. On pourrait conclure au résultat
    d'une érosion si ce visage a été fabriqué, ou tout simplement à l'aléa d'une
    formation naturelle qui expliquerait cette dissymétrie.    
 
  
  Mais si par un effet de
      miroir on rassemble les deux parties du visage avec elles mêmes on arrive à un
    résultat qui peut nous faire nous interroger sur le caractère fortuit de cette
    asymétrie. 
 
  
Si l'on se met à la place du visage, on observe que le
    coté droit assemblé avec lui même forme un visage ressemblant à celui d'un primate, un
    des premiers être humain. Le coté droit est aussi celui qui représente l'âme, la
    conscience.
David Percy, chercheur et directeur européen des opérations pour la mission Mars,
co-auteur de l'ouvrage "Deux tiers" présentant l'hypothèse qu'une forme de vie
intelligente a conçue et élaborée une construction sur la planète Mars, a donné une
conférence sur ce sujet en septembre 1996 à l'université de Bradfor, en Angleterre.
Cette conférence met en évidence 
le lien entre le site de
Cydonia sur Mars, les sites d'Avebury, Glastonbury et Stonehenge en Angleterre, et la
forme caractéristique de certain crop-circle.