Nikola Tesla
Troisième partie :
la maîtrise de la nature
C'est en 1892 que Nikola Tesla, un soir d'orage, constata un phénomène naturel qui influença ses recherches ultérieures :
" Le ciel se chargeait de nuages noirs,
mais la pluie ne tombait toujours pas, quand, tout à coup, il y eut un éclair, et tout
de suite après, le déluge.(...) Manifestement les deux phénomènes avaient un lien
étroit de cause à effet. Après quelque réflexion je conclus que l'énergie électrique
contenue dans la précipitation d'eau était insignifiante, et que l'éclair jouait le
même rôle de déclenchement qu'un commutateur.(...) Si l'on parvenait à produire des
orages électriques de l'intensité voulue, on pourrait modifier la planète entière et
les conditions de vie à sa surface.(...) S'il était en notre pouvoir de le bouleverser
(le cycle de l'eau) où et quand c'est nécessaire, on pourrait contrôler à volonté cet
élément vital qu'est l'eau. "
Les ondes stationnaires participent à cette
modification climatique. Elles sont créées par l'émission de puissants champs
magnétiques à très basse fréquence, champs qui sont dirigés vers le noyau de la
terre. L'énergie tellurique de ce dernier alimente cette onde et on obtient une triode
qui joue le rôle d'amplificateur, c'est ce que Tesla appelle son "émetteur
amplifié". Suivant la fréquence et la direction de
cette onde, celle-ci peut soit se décharger dans le manteau terrestre, provoquant un
tremblement de terre ordinaire, soit ioniser l'atmosphère et donc manipuler le climat,
brouiller les signaux hertziens et même influer sur le comportement des êtres vivants.
Zbigniew Brzezinski,
ministre des affaires étrangères de Ronald Reagan et créateur, en 1972,
avec David Rockfeller, de la
Commission
trilatérale,
déclare ceci :
"Nous disposons de
méthodes capables de
provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui
peut affaiblir les capacités d'un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos
conditions. Le contrôle de l'espace et du climat a remplacé Suez et Gibraltar comme
enjeux stratégiques majeurs."
Un des problèmes
posés par ces ondes stationnaires est qu'en interférant entre elles provoquent un chaos climatique. Cela est arrivé le
4 février 1983, jour où les ondes ELF (Emited Low Fréquency, onde de très basse
fréquence) envoyées par les américains sont entrées en contact avec des ondes
stationnaires envoyées par les soviétiques.
El Niño, courant chaud parcourant le pacifique et contribuant à équilibrer les
structures météorologiques une fois tous les dix ans de façon naturelle en régulant
les alizés de l'océan pacifique, a été beaucoup plus violent cette année-là.
On peut lire dans le "Washington Post" du 6 mars 1983 : "Pour des raisons
inconnues, les alizés se sont mis à souffler dans la direction opposée, ce qui a
provoqué une sécheresse en Australie et des pluies diluviennes au Pérou. Ils ont
également provoqué de fortes pluies, des tornades, des coulées de boue dans le sud de
la Californie. (...) El Niño de 1983 est le résultat d'énormes ondes
stationnaires émises par les Russes. Leurs propriétés
permettent de verrouiller les mécanismes météorologiques en créant un bouchon, ce qui
empêche les alizés de suivre leur trajectoire habituelle."
Cette année-là, de nombreux pays dans le monde
présentent des dégâts importants alors que l'Union Soviétique a connu un des hivers
les plus doux du siècle. Cette stratégie fait partie d'un plan amorcé par Lénine et
qui avait pour but de réchauffer la Sibérie afin d'y développer des cultures. Le
problème est que provoquer un type de temps dans un endroit n'est possible
qu'en diminuant son potentiel dans un autre endroit.
Toulours dans le "
Washington Post", mais cette fois du 15 mars 1983 : "
Un
rapport de la National Science Foundation décrit la mort ou la fuite des 17 millions
d'oiseaux que compte l'archipel des Christmas Islands".
Des millions de petits crabes rouges sont apparus sur les côtes sud de la Californie, les
migrations des poissons sont irrégulières, les coraux du Pacifique, du Panama, des îles
Galapagos, de Colombie, des îles de Polynésien et de l'ouest des Philippines meurent à un
rythme plus élevé qu'à l'habitude.
Pour tous ces phénomènes on cite El Niño, ou ce qui l'a provoqué, comme possible
responsable.
Ce qui est certain c'est que, comme le cite l'étude menée par
Sheppard et
Einsenbud,
tous deux membres de l'Institut de l'Environnement du New York Universit Medical Center
:"
(...) il existe une influence réciproque entre un champ magnétique ELF et
l'équilibre ions-calcium. La plupart des 2500 espèces connues de coraux (...)
produisent
du carbonate de calcium. Il est probable que cette production de calcium a été
perturbée par les ondes stationnaires ELF.(...) Des champs électriques ou magnétiques de faible
puissance sont capables de faire apparaître des changements neurophysiologiques et des troubles du
comportement."
La commission pour l'environnement rend les émissions de
dioxyde de carbone dans l'atmosphère et l'effet de serre qui en découle comme
principales responsables des catastrophes climatiques qui s'intensifient, et de la future
mais inéluctable immersion des zones côtières. Seulement ces changements climatiques
sont apparus brutalement alors que l'homme brûle de façon croissante mais quasi
régulière toute sorte de matériaux depuis la préhistoire. En fait, les causes sont
tout autres, comme nous venons de le voir. Elles sont le résultat d'une lutte visant non
seulement à tourmenter des pays concurrents ou ennemis, mais aussi à améliorer les
conditions climatiques de son propre pays. Cette tourmente climatique qui a
forcément des effets sur l'économie,
peut aussi en
avoir sur le comportement des populations, indirectement et directement... c'est la
guerre
psychotronique.
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Sources :
Interavia, Intel, 1956, Volume XI, n° 5, p. 373 et 374
La Conspiration Cosmique, Stan Deyo, 1996
La convention de Genève, 1978
CD-ROM Hidden Truth, Sadeness Software
Coucou, c'est TESLA, L'énergie libre, collectif d'auteurs, 1997
Between two ages, Zbigniew Brzezinski, Penguin Books
Les conséquences biologiques des champs électriques et magnétiques à très basses fréquences,
Asher R. Sheppard et Meril Eisenbud, Editions New York University Press, 1977