Aux ilotes de la COP

 

La COP 21 est la 21ème conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Elle présente le dérèglement climatique et la responsabilité humaine dans ce phénomène comme des évidences indiscutables. S’appuyant sur ces convictions, elle a pour objectif de déboucher sur un accord international pour limiter le réchauffement mondial à 2 °C d’ici 2100.

Les attentats parisiens du vendredi 13 novembre 2015 ont sabordé en partie le battage médiatique prévu autour de la COP 21 qui a lieu à la fin du même mois. Mais tout ce qui constitue une objection sur la raison d’être de ce colloque n’en est pas moins scrupuleusement écarté et stigmatisé par la majorité de ceux qui vous disent quoi penser tant les enjeux dépassent largement le seul climat.

 

 

Et si Philippe Verdier avait raison ?

Philippe Verdier lorsqu'il présentait la météo avant d'être licencié par France 2


Il eut beau tenter de mobiliser l’opinion grâce à quelques médias radiophoniques qui n’étaient pas totalement sous la coupe de la pensée unique, que ce soit de grès ou de force, et à la toile que j’ai connue plus vindicative en d’autres occasions, Philippe Verdier alias «M. Méteo» fut licencié1  de et par la chaine où il officiait : France 2. La direction des ressources humaines aurait justifié ce renvoi en arguant du fait que les propos de son livre « Climat investigation » ne sont « pas dans la ligne éditoriale de la météo2  »…

Cela a l’avantage de confirmer plusieurs choses.

Tout d’abord que la météo n’est pas le fruit d’un travail scientifique, mais bien le porte-parole d’une « ligne éditoriale » !

Ensuite et en corollaire que le réchauffement climatique est posé comme une évidence sur laquelle viennent s’échafauder tout un discours et un projet politique, ainsi qu’une opération de communication globale que chacun tente de rallier afin d’en tirer les bénéfices. Remettre en cause ce que les faiseurs d’opinion présentent comme une vérité admise par tous sans discussion aurait pour conséquence d’ébranler une multitude d’intérêts puissants et variés, tant et si bien que celui qui s’y essaye se crée autant d’ennemis de même nature.

Enfin que la liberté d’expression et le droit à l’information n’existent plus en France notamment au sein du service public de télévision aux heures de grande écoute, ce qui est encore plus grave puisque cela nous ramène au temps du ministère de l’information3  qui succéda au ministère de la propagande, et ce malgré quelques émissions qui semblent donner le change pour nous faire penser le contraire.


L’Agence France-Presse est une agence de presse mondiale et généraliste chargée de
collecter, vérifier, recouper et diffuser l'information, sous une forme neutre...
Pourtant ce tweet n'est que le relais de la communication de la COP 21 avec son logo en haut à droite!


Le licenciement de Philippe Verdier constitue la preuve de la servilité de certains médias vis-à-vis des acteurs économiques et financiers, puis politiques, c’est-à-dire le pouvoir en place. Ils préfèreront prendre le risque de faire naitre une polémique autour d’un livre qui n’intéressait pas grand monde jusque-là plutôt que de laisser penser qu’ils ne seraient pas sur la ligne de ceux qui sont aux commandes, et que cette ligne puisse souffrir une quelconque mise en doute, même raisonnée et documentée. Ces détracteurs comptent sur la nature de la sanction et la diligence de son exécution pour écarter l’éventualité d’un questionnement dans l’opinion publique. Cette dernière ralliera en majorité la mystification, aussi éhontée qu’efficace, qui consiste à frapper si fort et si vite que cela donne une impression d’assurance et de bien-fondé. S’ils sont si sûrs de leur fait qu’ils vont jusqu’à congédier une de leur tête de gondole audiovisuelle c’est qu’ils ont forcément raison !

Laurent Fabius,
Ministre des Affaires étrangères
et du Développement international,
Président de la COP 21
Le fil de l’actualité se chargera de pousser aux oubliettes cette péripétie d’un auteur lanceur d’alerte. Mr Météo une fois licencié redeviendra Mr tout-le-monde. Il retournera dans les rangs partagés par le commun des mortels, loin de ceux qui ont daigné lui accorder du temps d’antenne puisque désormais il ne fait plus parti du sérail des privilégiés qui s’invitent entre eux dans la petite lucarne. Et chacun sait qu’en dehors de la télévision et malgré les réseaux sociaux, les chances de diffusion et de reconnaissance d’un objet, d’une idée ou d’une image sont infimes. Sous les apparences d’un simple licenciement se cache donc une éviction médiatique qui a pour objet de mettre fin le plus rapidement possible au potentiel de nuisance de l’intéressé en lui coupant ses connexions professionnelles et les accès qu’elles lui autorisaient, ainsi qu’en l’écartant d’un métier qui le met quotidiennement sous le feu des projecteurs.

En effectuant le rapprochement entre le présentateur météo Philippe Verdier et ce qu’il dénonce dans son livre, il ne s’agirait pas que soir après soir notre temps de cerveau disponible soit occupé pendant la publicité par la question qui nous viendrait juste avant: « Au fait, et si il avait raison ? »

 

Car à la lecture du livre de Philippe Verdier, on pourra s’interroger entre autres choses sur le silence autour du rôle de l’aviation civile vis-à-vis du réchauffement4 , sur les conséquences de notre mode de vie alimentaire5 , sur le fait que des ministres jouent au Mr Météo alors que des Mr Météo sont mis à la porte6 , ou encore sur le nombre de scientifiques qui évoluent en marge des théories officielles avec tous les risques que cela comporte pour leur carrière7 .

A ce propos, le documentaire d’ARTE intitulé « Le secret des nuages » est riche d’enseignement sur la difficulté à tenter de démontrer la validité, ne serait-ce que partielle, de nouvelles théories qui n’entrent pas dans les standards communément admis. La référence dans le cadre des négociations internationales autour du climat provient de l’institution onusienne GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat). Sa communication monopolise le débat avec la théorie officielle qui veut que le réchauffement climatique soit directement lié aux activités humaines. Le GIEC et tous ceux qui parient sur cette théorie verraient d’un mauvais œil l’émergence d’études qui pourraient démontrer que le climat terrestre serait également sous influence du cosmos.

Le CERN avec le projet CLOUD8 étudie cette alternative… depuis 2009 !

Le secret des nuages


La COP 21 se veut être la COP des solutions pour endiguer le dérèglement climatique et l’acidification des océans. À certains endroits se multiplieraient des sécheresses accompagnées d’incendies, et à d’autres des submersions dues à l’élévation du niveau des mers. Tout cela entrainerait des destructions matérielles, des pertes en vies humaines et animales, ainsi que des déplacements massifs de populations. Mais même face aux catastrophes naturelles, il est difficile de se mettre d’accord sur la nature des moyens mis en œuvre pour les empêcher en amont lorsque les causes ne sont pas correctement identifiées. Par conséquent les solutions seront insuffisantes car partiellement inefficaces puisqu’elles risquent de s’appliquer seulement sur une des sources, mais pas forcément sur la seule ni la principale.

Ce traitement incomplet peut s’expliquer du fait que la COP 21, comme toutes celles qui la précèdent, est la victime consentante d’une prise d’otage par les multinationales9 . En effet, les solutions à apporter aux problèmes engendrés par le réchauffement climatique dépendent d’abord des capacités techniques des entreprises et de leurs investissements en recherche et développement. Ce dernier point nous mène directement à la première des raisons qui font que l’on a du mal à leur accorder notre confiance à priori. Ces multinationales agissent uniquement, comme toute société cotée en bourse, dans la perspective de produire des résultats financiers pour satisfaire les marchés, les banques d’affaires et les actionnaires. Cette approche à court terme est incompatible avec l’exigence de perspective qu’impose déjà par définition le développement « durable », et freine toute recherche trop onéreuse. La seconde raison est une simple déduction inspirée par l’observation et l’histoire. On constate notamment que 90 grands groupes mondiaux sont à l’origine des deux-tiers des émissions de gaz à effet de serre10 , et que un quart des émissions mondiales de ces mêmes gaz seraient imputables à l’agriculture11 . Il est alors difficile de croire les firmes lorsqu’elles nous promettent un monde meilleur demain alors que ce sont souvent les mêmes dont les activités d’hier sont directement responsables de la dégradation de l’environnement aujourd’hui…
Même sous le joug d’une propagande éhonté, le peuple a encore la capacité de réaliser les paradoxes de la situation pour peu qu’il se donne la peine de se poser des questions !

 

L’acceptabilité sociale de l’homme nomade

François Gemenne, « chercheur et spécialiste des flux migratoires12  », arpente les plateaux de télévision sans cacher son penchant pour une immigration massive vers le vieux continent, que celle-ci provienne de pays en guerre, ou bien de territoires victimes de conditions climatiques qui peuvent paraitre inhospitalières vue depuis notre fenêtre.
Pourtant les Inuits se sont adaptés au climat polaire et les bédouins au climat désertique sans que ni la majorité des uns ni celle des autres n’ait eu ni l’idée ni le désir de quitter leur neige ou leur sable pour rejoindre l’Europe !
Mais de nos jours il n’est plus question de chercher à s’adapter aux conditions climatiques. A l’époque de la mondialisation néolibérale où tous les problèmes sont censés trouver leur solution dans la libre circulation, qu’il s’agisse de l’homme, des capitaux ou des marchandises, l’élite veut nous convaincre que la seule issue serait la migration vers des contrées moins austères13 .

François Gemenne sur Twitter


Après les conflits ethniques ou religieux, le sous-développement, les épidémies ou la famine, le réchauffement est donc devenu un argument supplémentaire pour augmenter notre capacité à accepter l’immigration. Dans le prolongement de l’immigration de travail, puis du regroupement familiale, il s’agit d’optimiser « l’acceptabilité sociale14  » d’une immigration dotée d’un nouveau visage. Le migrant climatique dépasse le cadre émotionnel, l’intérêt particulier ou le caractère local d’un migrant économique ou d’un réfugié de guerre. Le migrant climatique est d’abord la victime d’un phénomène inéluctable qui concerne la planète toute entière. Ainsi le migrant climatique est le migrant qui éveille en nous davantage d’empathie que tous les autres puisqu’il peut être chacun d’entre nous à terme !

Stéphane Troussel, élu du Parti socialiste,
Président du Conseil Général de la Seine-Saint-Denis,
sur Twitter à l'occasion de sa participation à News & Cie
Pour mieux faire passer la pilule de ce brassage humain aboutissant à une population hétéroclite contrainte à vivre ensemble quotidiennement sur un même territoire, certaines des politiques publiques imposent ce que la novlangue appelle la « mixité sociale ». Si la Constitution française « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », la mixité sociale va plus loin puisqu’elle aménage le mélange entre les citoyens en question. Mais cette terminologie de « mixité sociale » évite la connotation directe avec l’origine territoriale ou la religion, et ce bien que la définition officielle s’y rapporte plus ou moins directement selon les cas puisqu’il est question de différences ethnique et culturelle. Au final, l’objectif est d’organiser la société pour que des personnes issues de catégories socio-professionnelles et ethnoculturelles différentes se côtoient ou cohabitent sans qu’elles aient forcément choisi de le faire. Bien sûr nous avons l’exemple de l’intégration des descendants d’immigrés par le sport15 dont l’apogée fut la victoire de l’équipe de France de football au mondial 1998. Mais dans la vie réelle cette mixité sociale fut mise à l’épreuve depuis les années cinquante.

Cependant, comme en France il est contraire à la Constitution d’établir un quelconque « référentiel ethno-racial », les chercheurs et les analystes se limitent à expliquer la « ghettoïsation16  », les émeutes urbaines, les zones de non droit, les trafics en tous genres, les violences aux personnes, la radicalisation religieuse, ou bien encore le terrorisme par des causes sociales, voir psychologiques17 … En interdisant un travail statistique et scientifique tous azimuts, la loi empêche donc toute évaluation de la politique migratoire et de ses conséquences éventuelles même après plusieurs générations, ce qui permet à ceux qui en profitent socialement et électoralement18 de travailler de concert pour accentuer le mouvement.

Les entreprises n’ont pas intérêt à soutenir la théorie du réchauffement climatique que parce qu’elles y trouvent de nouveaux marchés, et ce généralement davantage grâce à l’argent qu’elles investissent en publicité plutôt que dans une réelle action au bénéfice de l’environnement. Mais lorsque le greenwashing, ou écoblanchiment, laisse la place à une certaine restructuration, aucun plan social n’en est témoin puisqu’il ne s’agit pas de délocaliser pour réduire les coûts, mais de réduire les coûts en relocalisant ! De nos jours où la communication est mondialisée et où le respect de l’environnement est devenu un argument marketing, il devient bien plus profitable à terme d’organiser la régression sociale et salariale sur la zone de chalandise que d’externaliser la production dans de lointains pays étrangers.

Cette externalisation, de par les conditions de fabrication souvent peu respectueuses des ouvriers, l’exploitation des matières premières souvent dommageables pour le milieu naturel, et les transports souvent polluant, lorsqu’ils ne sont pas carrément à l’origine de catastrophes environnementales, est préjudiciable pour les marques. On a tous en mémoire soit le souvenir d’un atelier qui se sera écroulé sur ses ouvriers19 , soit l’exemple de matières premières nocives ramassées par des enfants pour le compte de sociétés occidentales20 , sans parler des naufrages de cargos ou de pétroliers…

Aujourd’hui chaque consommateur et actionnaire peut juger une entreprise depuis chez lui, et décider en un clic de ne plus accorder sa confiance, et donc une partie de son pouvoir d’achat ou de son épargne, à une société qui l’aura déçu. Et que les faits soient avérées ou que la rumeur ait pris le pas sur la réalité, les milliers de kilomètres qui séparent le lieu de production du lieu de consommation sont suffisant pour attiser le doute. C’est la parole des organisations non gouvernementales subventionnées ou des journalistes plus ou moins stipendiés contre celle des autorités locales ou des entreprises soupçonnées à priori de tout faire pour préserver leurs intérêts respectifs. Bien malin celui qui sera en mesure d’extirper la vérité de cet imbroglio !

 

La relocalisation s’accélère à travers une immigration climatique, présentée comme humanitaire, inexorable et sans alternative. Elle semble relever d’une nouvelle forme de colonisation car les pouvoirs ont changé de main. Avant il s’agissait pour une nation d’exploiter pour son propre intérêt les avantages réels ou supposés (matière première, main-d’œuvre, position stratégique, espace vital, etc.) d’un territoire étranger. Maintenant il s’agit pour l’oligarchie d’exploiter pour son propre intérêt le nivellement par le bas des prétentions sociales qu’entraine la venue d’une concurrence corvéable. On est passé d’une occupation d’un territoire par les colonisateurs à une importation plus ou moins organisée d’une main d’œuvre dont l’intégration ou l’assimilation importe peu aux acteurs économiques et financiers mais rapporte beaucoup, puisque seul compte l’effet déflationniste qu’elle provoquera sur le coût du travail. Les dérives de la « mission civilisatrice » ont laissé la place à celles de la « terre d’asile » à travers l’intronisation des migrants.

Et à ceux qui pensent que le développement du pays d’où provient le migrant réduit à court terme les migrations, les dernières études tendent à montrer qu’ils se trompent. En fait, le développement permet aux candidats à l’exil de disposer de moyens supplémentaires pour réaliser leur projet migratoire21  !

C’est l’homme nomade au service de l’entreprise globale, l’assouvissement des « besoins du capitalisme tardif en agents de production totalement flexibles et disponibles22  », et finalement le dévoiement de l’idéal pacifiste post révolutionnaire qui pense que la nation est un obstacle à la fraternité entre les peuples. Cette dernière idée est largement perceptible à travers des œuvres comme HUMAN, le film de Yann Arthus-Bertrand, diffusé à grand renfort de publicité par France 2, la même chaine qui a viré Philippe Verdier…

 

Cependant on peut dépasser la question de la cause de la COP 21 pour passer directement aux conséquences. Que le réchauffement existe ou pas, la COP 21 n’est qu’une excuse supplémentaire pour faire fi des frontières et procéder moins à un grand remplacement qu’à un brassage multiethnique qui justifiera à plus ou moins long terme une gouvernance mondiale. Mais au-delà de cette évidence où s’arrêteront la plupart de ceux qui dénoncent toute organisation mondiale alors que les faiseurs d’opinion les auront déjà affublés de conspirationnisme, se cache un enjeu supplémentaire. Ce dernier consiste à ankyloser la propension humaine au dépassement de soi et au développement.

Avant c’était l’exploration de l’inconnu qui, pour des raisons économiques et religieuses, a contribué à faire évoluer nos civilisations.

Aujourd’hui le grand projet de nos gouvernants c’est qu’il convient de faire avec ce que l’on a !

Même le Vatican, à travers l’encyclique « Laudato Si » (Loué sois-tu) du pape François publiée en juin 2015, entend mobiliser les croyants et non-croyants à la conversion écologique23 et « à marquer une pause, en mettant certaines limites raisonnables, voire à RETOURNER EN ARRIERE avant qu’il ne soit trop tard »… Le pouvoir politique et l’autorité religieuse du Saint-Siège sont aidées en cela par le réseau brésilien d’organisations non gouvernementales et d’avocats luttant contre le changement climatique Observatório do Clima de façon moderne et décomplexée à travers une vidéo mettant en scène un pape boxant le climat24 …

Pope Francis: The Encyclical

La migration n’est plus synonyme de conquête et de grandes découvertes, mais de fuite, de pis-aller, et de mise en concurrence du prolétariat.
Les chercheurs, sciences et technologies alternatives sont toujours déconsidérées au profit de solutions développées par les entreprises qui sont à l’origine du problème !
La planète n’est quasiment plus un point dans l’espace dont il faudrait s’arracher afin de tenter de répondre aux questions qui entourent l’origine, la nature et la finalité de la vie, mais un univers indépassable qu’il convient de gérer et d’économiser jusqu’à la fin des temps. Les moyens investis dans la conquête spatiale pourraient infirmer mes affirmations si l’approche de la NASA dans le domaine n’était pas « une invitation à l’échec et aux désillusions25  ». 


La COP 21 doit être perçue par l’opinion comme le sommet de la dernière chance dont le catéchisme est indiscutable. Les plus sceptiques jugeront que cette conférence n’est qu’une réunion internationale de plus qui forme un sillage sur lequel viennent surfer quelques opportunistes. Mais en réalité c’est avant tout un des instruments de contrôle matériel, nutritionnel et mental de la population qui a pour but de contenir les perspectives de développement de l’humanité au niveau du plancher des vaches dans un relatif statu quo de l’innovation26 où on attend toujours la voiture volante !
Censée déboucher sur un accord mondial, cette assemblée peut s’assimiler à un enclos où viendraient s’enfermer l’ensemble des pays du globe en attendant une nouvelle ou ultime réforme…
On peut donc en conclure que si la COP 21 sert à quelque chose, ce n’est certainement pas aux intérêts de la majorité de la population de cette planète, mais plus surement à nous faire patienter ici sans que nous vienne l’idée d’exiger de nos représentants qu’ils reprennent la mission première de l’humanité : la conquête de nouveaux horizons. L’ampleur du blackout sur l’origine cosmique du réchauffement climatique me laisse à penser qu’il existe d’autres réponses dans cette direction. Mais une prise de conscience de cet acabit ne serait pas profitable pour tous ceux qui ont intérêt à conserver le terrien en état de servilité et d’ignorance.
Les ilotes de la COP prendront peut-être mieux conscience de cet état de sujétion dans lequel est maintenue l’humanité s’ils réalisent que cet évènement cosmopolite s’agence parfaitement dans La Vraie Conspiration27 .

 

Wanderers (Nomades) est une vision de l’expansion de l’Homme à travers le Système Solaire


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Article mis en ligne le 26 avril 2017.



1  « VIDEO. Philippe Verdier, «M. Méteo» de France 2, annonce son licenciement », Le Parisien, 1er novembre 2015 – http://www.leparisien.fr/tv/video-philippe-verdier-m-meteo-de-france-2-annonce-son-licenciement-01-11-2015-5237283.php
2  « VIDÉO. Philippe Verdier, M. Météo de France 2, annonce son licenciement après son livre polémique sur le climat », Le Huffington Post, 1er novembre 2015 – http://www.huffingtonpost.fr/2015/11/01/video-philippe-verdier-meteo-france-2-licenciement_n_8444152.html

3  « Le ministère de l’Information : un ministère de la censure ? », Aude Vassallo, 11 février 2009 – https://audevassallo.wordpress.com/2009/02/11/un-ministere-de-l%E2%80%99information-pour-quoi-faire/

5 Verdier, op.cit., p. 84.

6 Verdier, op.cit., p. 105.

7 Verdier, op.cit., p. 61.

9 « De Rio+10 à la COP21 : Les Nations-unies colonisées par les lobbies industriels », par Le concierge du Musée le mardi 20 octobre 2015 – http://blog.europa-museum.org/post/2015/10/20/De-Rio-%C3%A0-Paris-Les-Nations-unies-colonisees-par-les-lobbies-industriels

10 Connaître les saboteurs de climat pour les empêcher de nuire, Philippe Thureau-Dangin, Reporterre, 23 novembre 2015 – http://www.reporterre.net/Connaitre-les-saboteurs-de-climat-pour-les-empecher-de-nuire

11 Comment les multinationales se servent du changement climatique pour imposer leur futur modèle agricole, Sophie Chapelle, basta !, 23 novembre 2015 – http://www.bastamag.net/Comment-les-multinationales-se-servent-du-changement-climatique-pour-definir

12 « Les 4 Vérités-François Gemenne: l’afflux de migrants est un processus de longue durée », Francetv info, 7 septembre 2015 – http://www.francetvinfo.fr/les-4-verites-francois-gemenne-l-afflux-de-migrants-est-un-processus-de-longue-duree_1073537.html

13 « Le changement climatique, facteur de déstabilisation et de migration », Laetitia Van Eeckhout et Stéphane Foucart, Le Monde.fr, 11 septembre 2015 – http://www.lemonde.fr/climat/article/2015/09/11/le-changement-climatique-facteur-de-destabilisation-et-de-migrations_4752611_1652612.html

14 « L’acceptabilité sociale, ou l’art de se faire avoir? », Bruno Masse, Le Huffington Post Québec, 24 septembre 2013 – http://quebec.huffingtonpost.ca/Bruno%20Mass%C3%A9/acceptabilite-sociale-concept_b_3972876.html

15 « Rama Yade : "Le sport, une des activités les plus exemplaires en matière de diversité ou de mixité" », Le Monde.fr, 25 mars 2010 – http://www.lemonde.fr/sport/article/2010/03/25/rama-yade-le-sport-une-des-activites-les-plus-exemplaires-en-matiere-de-diversite-ou-de-mixite_1324467_3242.html

16 « Valls annonce "une politique du peuplement" contre la "ghettoïsation" », AFP, Le Point.fr, 22 janvier 2015 – http://www.lepoint.fr/politique/valls-annonce-une-politique-du-peuplement-contre-la-ghettoisation-22-01-2015-1898710_20.php

17 « Le nouveau visage de la radicalisation islamiste », Jean Michel Gradt, Les Echos.fr, 18 novembre 2015 – http://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/021488333169-plus-jeune-plus-varie-le-nouveau-visage-de-la-radicalisation-islamiste-1176276.php

18 « Un journaliste du Nouvel Obs tacle les " bobos " », Tefy Andriamanana, Marianne, dimanche 25 Septembre 2011 – http://www.marianne.net/Un-journaliste-du-Nouvel-Obs-tacle-les-bobos_a210597.html

19 « Bangladesh : les Français nient avoir utilisé les ateliers du Rana Plaza comme sous-traitants », Le Monde.fr, 15 mai 2013 – http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/05/15/des-marques-francaises-seraient-clientes-de-l-usine-effondree-au-bangladesh_3228153_3234.html

20 « Au Ghana, les enfants encore largement exploités dans les mines d’or », Baptiste Erondel, Le Figaro.fr, 11 juin 2015 – http://www.lefigaro.fr/international/2015/06/11/01003-20150611ARTFIG00296-au-ghana-les-enfants-encore-largement-exploites-dans-les-mines-d-or.php

21 « Migrants subsahariens : haro sur les idées reçues », Pascal Airault, 3 novembre 2015 – http://www.lopinion.fr/edition/international/migrants-subsahariens-haro-idees-recues-52369

22 « Méfions-nous de l’idéologie du nomadisme ! », Jean-Loup Amselle, Le Monde.fr, 24 juin 2011 – http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/06/24/mefions-nous-de-l-ideologie-du-nomadisme_1540133_3232.html

23 « Les dix commandements du pape François pour sauver la planète », Henri Tincq, Slate.fr, 18 juin 2015 – http://www.slate.fr/story/103175/10-commandements-pape-francois-sauver-planete

24 « Bande-annonce: le pape enfile ses gants de boxe pour combattre le changement climatique », Eric Holthaus, Slate.fr, 13 juin 2015 – http://www.slate.fr/story/102955/pape-gants-de-boxe-changement-climatique

25 « La NASA n’a pas le budget pour aller sur Mars, estiment des experts », AFP, Les Echos.fr, 6 juin 2014 – http://www.lesechos.fr/06/06/2014/lesechos.fr/0203548153336_la-nasa-n-a-pas-le-budget-pour-aller-sur-mars--estiment-des-experts.htm

26 « Trente ans après «Retour vers le futur», relevé des compteurs », Erwan CARIO, Libération, 19 octobre 2015 – http://www.liberation.fr/futurs/2015/10/19/trente-ans-apres-releve-des-compteurs_1407406




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