Diana,
partie pour rester

 

  Diana Spencer est décédée lors d'un accident de la circulation le dimanche 31 août 1997, à la suite de ses blessures, vers 4 heures du matin.
  Les circonstances de l'accident restent obscures même si il est indéniable que la vitesse excessive à laquelle la Mercedes 280 S a emprunté le tunnel de l'Alma n'a pas arrangé les choses. Mais la vitesse est la seule cause dont nous soyons certains une semaine après l'accident. Les témoignages des paparazzis présents lors de l'accident n'ont pas filtré, ceux de deux autres témoins ont été jugés « très intéressants » par les enquêteurs. Des enquêteurs qui appartiennent à la brigade criminelle, détail étonnant puisque cette brigade n'est habituellement pas commise aux accidents de la circulation, sauf si ceux-ci présentent un caractère suspect…


Suspect, plusieurs détails le sont.

Tout d'abord le soi-disant taux d'alcoolémie du chauffeur de la soirée, Henri Paul, directeur de la sécurité du Ritz. La famille de ce dernier n'en est pas convaincue et apporte une preuve visuelle par les films des caméras de surveillance du Palace qui montrent que le comportement d'Henri Paul avant le départ de l'hôtel ne présentait pas de signes d'ébriété. On apprendra de plus le 10 septembre, après la troisième série d'examens qu'en plus des 1,75 gr d'alcool dans le sang figuraient aussi des traces de triapride et de fluoxtine. Ces principes actifs sont respectivement utilisés, entre autre, dans le Tiapridal et le Prozac.

Good bye, roses...


Le premier médicament est un neuroleptique et le second un antidépresseur atténuant les effets indésirables du premier. Le tiapride est destiné à traiter la schizophrénie ou les psychoses maniaco-dépressives. Si ces effets sur les personnes psychotiques peuvent être bénéfiques, ils peuvent par contre provoquer une diminution des performances (évalués par un certain nombre de tests psychomoteurs ou psychométriques) sur des sujets saints.

A ce stade de l'enquête, on se pose des questions au sujet du chauffeur de cette malheureuse soirée.


Mais pas des questions du type : Pourquoi n'est-ce pas le chauffeur habituel du couple qui conduisait ce soir-là ? Tous simplement par ce qu'il était occupé à faire diversion avec une autre voiture pour attirer les paparazzis. Ou encore, pourquoi l'a t'on laissé prendre le volant d'une voiture de « grande remise » dont la conduite nécessite une habilitation préfectorale qu'il n'avait pas, et ce dans un état d'ébriété avancé ? Parce que son comportement ne laissait pas paraître un tel état et car Henri Paul, en tant que directeur de la sécurité au Ritz, ancien officier de l'armée de l'air, passionné d'aviation et encore apte au test de pilotage le 28 août 1997, était certainement conscient d'être capable de mener à bien cette mission.

De plus,  Dominique Mélo, amis de vingt-cinq ans du malheureux chauffeur et enseignant en psychologie à la faculté de Villejean, souligne qu'Henri n'était pas « un buveur ».

Good bye, roses...


Par contre, on peut s'étonner du fait qu'il a fallu attendre la troisième analyse de sang pour découvrir des substances provenant de neuroleptiques et d'antidépresseurs, en sachant que la deuxième expertise avait été menée par le laboratoire de toxicologie (!) de la préfecture de police de Paris. Les deux premières expertises avaient-elles été bâclées ou a t'on voulu cacher la présence de ces substances ? A moins que le sang étudié lors de la troisième expertise ne soit pas celui d'Henri Paul ? Nous avons précédemment vu l'effet que les substances trouvées dans ce sang peuvent avoir sur un sujet saint. De plus, les contres indications de ce type de médicament, tels que leur incompatibilité avec l'absorption de boissons alcoolisées, sont généralement connus de leurs utilisateurs. Mais si ces médicaments ont été donnés à Henri Paul à son insu, cela pourrait expliquer le mélange dont lui-même n'était pas conscient.

 
Ensuite, on peut se pencher sur les traces de freinage dans le tunnel. Sur 16 mètres, elles témoignent de la vitesse du véhicule et du dysfonctionnement de l'ABS. D'après le témoignage d'un chauffeur de taxi, la Mercedes l'aurait doublé alors qu'il roulait sur la ligne droite séparant la Concorde du tunnel de l'Alma. Selon son récit, les paparazzis avaient déjà été distancés lorsque à l'entrée du tunnel, un flash déchire la nuit. La Mercedes aurait commencé à tanguer pour finir où nous savons. Le taxi s'arrêta et alla prévenir les policiers en faction près du radar. Mais ce sont les hommes du commissariat du huitième arrondissement qui sont les premiers sur les lieux de l'accident.
Pourquoi les policiers du périphérique à proximité du drame ne sont-ils pas intervenus directement ?
Puis ce chauffeur de taxi devient subitement amnésique quelques heures après l'accident.
Veut-il éviter des ennuis par rapport à la police qu'il rend, par son témoignage, en partie responsable de l'accident, ou a t'il subi des pressions le contraignant à oublier ce qu'il a vu ?

Good bye, roses...


D'autres témoignages font état de la présence d'une Peugeot 205 noire devançant la Mercedes quelques secondes avant l'accident. Ce véhicule aurait pour chauffeur, d'après Kes Wingfield, garde du corps personnel de Dodi Al Fayed, un homme qui se tenait à l'extérieur de l'hôtel, en compagnie des paparazzis, avant le départ du couple.
Quel était le rôle de cet homme ? Était-ce un photographe, avait-il pour mission de devancer la Mercedes afin d'obtenir des clichés de la princesse à sa destination finale ? Était-ce un agent du SPHPE (Service de Protection des Hautes Personnalités Étrangère). D'après les témoignages de policiers travaillant à l'aéroport lors de l'arrivée de la princesse, ce service spécial n'était alors pas présent.

De plus, aucune demande de protection n'avait été adressée au ministère français de l'Intérieur de la part de l'ambassade britannique.

De ce qui précède, on en déduit que la protection du couple était seulement assurée ce soir-là, dans la voiture, par le garde du corps de Dodi Al Fayed, Trevor Rees Jones. Mais voilà que l'on apprend de sources proches de l'enquête que les anesthésies lourdes qu'il a subies vu son état pourraient entraîner une amnésie partielle, voir définitive, de l'accident et des heures qui l'ont précédées. Son témoignage, quel qu'il soit, ne pourrait donc pas être fiable. Beaucoup de témoins ont une fâcheuse tendance à perdre la mémoire dans cette affaire. Et ceux qui pourraient nous apprendre quelque chose sont discrédités avant de pouvoir s'exprimer. La presse, qui a tout d'abord jeter l'opprobre sur les paparazzis, qui sont apparemment beaucoup moins impliqués dans l'accident que l'on a bien voulu nous le faire croire, prépare maintenant l'opinion publique à faire la sourde oreille lorsque le témoin n°1 livrera sa version des faits.

 
Si les témoignages diffèrent, celui de la caméra de surveillance placée au-dessus du tunnel de l'Alma et télécommandée depuis la préfecture de police pourrait nous éclairer. Celle-ci peut filmer soit l'entrée, soit la sortie du tunnel. Mais la préfecture prétend ne pas faire d'archivage des images qu'elle prend, et ce, sur recommandation de la CNIL (Commission Nationale Informatique et Liberté). Sauf que d'après le JO du 7 décembre 1996, « La loi rappelle tout d'abord de manière explicite que les enregistrements visuels de vidéosurveillance ne sont pas de la compétence de la CNIL (…) » si ils ne sont pas utilisés pour constituer un fichier nominatif. En ce qui concerne les enregistrements, « toute personne intéressée(…) peut s'adresser au responsable d'un système de vidéo surveillance afin d'obtenir un accès aux enregistrements qui la concernent. (…). Tout refus d'accès doit être motivé (sûreté de l'État, défense, …). »

Good bye, roses...

Et pour finir, voyons le contexte. Dodi Al Fayed venait de remettre à Lady Di un joyaux d'1, 2 millions de Francs et de la demander en mariage. Diana, soit disant enceinte de Dodi, n'allait pas tarder à officialiser une union qui aurait pu donner comme demi-frère au futur roi d'Angleterre un citoyen d'un ancien protectorat anglais. L'aristocratie anglaise était-elle prête à subir un tel affront? On peut noter au passage qu'une somme de 30 000 F et qu'un collier de 2,5 millions de Francs sont restés introuvables. Seul l'écrin vide fut découvert dans la carcasse de la Mercedes.

Les frasques et la résonance des actions de Diana dans les médias du monde entier ne gênaient-elles pas quelques personnes (comme celles faisant commerce de mines antipersonnel), sa liaison ne risquait-elle pas de diriger les feux de l'actualité vers le père de Dodi et la façon, plus ou moins claire, dont il essaye depuis tant d'années de se faire reconnaître vis-à-vis de l'aristocratie anglaise ? La mort de Diana et de Dodi résout tout un ensemble de problèmes pour l'establishment anglais, pour les complexes militaro-industriels et pour les gouvernements qui les soutiennent. Il ne sera plus nécessaire de composer avec le beau-père le moins aimé de l'élite de Grande Bretagne, puisque la liaison avec la femme la plus aimée des Anglais n'existe plus. Le commerce des mines antipersonnel pourra se poursuivre sans faire la une des journaux.



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