Pourquoi l’OVNI est-il
aussi discret ?
Depuis la nuit des temps, des objets volants non identifiés, occupés ou non par de curieux personnages, viennent nous rendre visite. On s'interroge quant à savoir ce que sont ces objets, d'où ils viennent, ce qu'ils veulent. La majorité s'interroge même sur leur existence. Toutes les théories ont été élaborées mais aucune réponse officielle n'a été apportée.
Observons les faits et posons-nous la question de savoir pour quelles raisons ils sont là mais ne communiquent pas, ou si peu, que la majorité des gens doute toujours de leur existence. Demandons-nous pourquoi la forme lenticulaire de l’OVNI type était déjà présente en 12000 avant JC
1.
Interrogeons nous aussi sur ce qui oblige les gouvernements à entretenir cette conspiration du silence autour du phénomène.
Peintures rupestres d'Italie (à gauche), du Sahara (à droite), et statuette du Japon (au centre) pouvant évoquer des êtres vêtus de combinaisons... spatiales ?
Black-out gouvernemental
Les gouvernements du monde entier font le black-out sur ces phénomènes, malgré qu'ils s'intéressent de près au problème. L’annonce de l’existence d'une vie différente et conjointe à la nôtre, et ce depuis des millénaires, pourrait saper les édifices de ce qui fait la cohésion de la société.
Par exemple la religion, quelle qu’elle soit, est encore dans de nombreux pays un élément déterminant de l’équilibre géopolitique. La majorité des hommes ont des croyances établies sur des dogmes qu'une révélation de cet ordre pourrait remettre en question. Quelle serait leur réaction ?
Ceux qui enseignent ces dogmes n'ont-ils pas intérêt à ce qu'aucune information ne filtre à ce sujet, quitte à exercer les pressions ou à mener les actions nécessaires.
D’un point de vue économique, le chambardement pourrait avoir des causes catastrophiques sur certains pays, qui se trouvent d’ailleurs, en partie, être les mêmes que ceux qui sont concernés par la remise en cause religieuse. Les études pratiquées sur les sites présumés d'atterrissage d'OVNI tendraient à prouver qu'ils maîtrisent une technologie d'énergie libre, c'est-à-dire qu'ils se servent d'un champ électromagnétique comme source d'énergie. Si nous maîtrisions cette technologie, nous n'aurions plus besoin des dérivés du pétrole en tant que carburant, ou de l'énergie nucléaire. Tous les frais de nos sociétés modernes liées à la recherche et à la distribution de l’énergie seraient supprimés puisqu’il serait possible de disposer de générateurs personnels autonomes (voir
Nikola TESLA)
Il n'y aurait plus de déchets, donc plus de pollution, les déplacements seraient facilités et les frontières définitivement impuissantes à les maîtriser. Ce bouleversement des mœurs aurait pour effet d'augmenter notre temps libre, mais surtout de provoquer des remous dans l'économie mondiale de par la disparition de la majorité des débouchés pour les pays producteurs de pétrole.
La mainmise sur l'énergie et les connaissances permet d'exercer un contrôle sur les hommes, ainsi que la pérennité du système économique et financier actuel. Les hommes et les femmes ont une tendance naturelle à vouloir améliorer leur quotidien, et recherche sans cesse les moyens d’y parvenir. Mais la société est truffée de stratagèmes pour éroder cette volonté d’évolution. Les Eglises et les sectes gardent les humains dans l’espérance de jour meilleurs. Les drogues, quand elles ne servent pas à financer les opérations des services secrets, ont pour avantage d’éliminer ceux qui ne supportent pas cette société en précipitant leur déchéance, à défaut de leur fournir une échappatoire. Le système économique est fait de telle sorte qu’il pousse au productivisme et à la surconsommation. Il nous emprisonne dans un cercle vicieux où la performance nous obnubile, et les factures ou les crédits nous enchaînent et la pollution engendrée par cette compétition insensée nous tue.
En revanche, ce que je sais c'est que la planète, aujourd'hui, se dégrade à un rythme plus rapide que sa capacité de régénération. Cela est un fait certain. Autrement dit si nous voulons continuer à vivre comme nous vivons, il faudrait très rapidement que nous ayons à côté une deuxième planète sur laquelle on irait chercher ce que nous ne trouverions plus sur la nôtre, hypothèse d'école, vous l'imaginez.
Jacques CHIRAC, interview télévisée à l’occasion de la fête nationale, 14 juillet 2002.
Si une coexistence avec une autre forme de vie que celle qui compose l’humanité venait à être révélée, nos croyances, nos institutions et nos certitudes seraient remises en question, surtout si il s’avère que certains étaient déjà informés depuis bien longtemps. L'ordre établi pourrait s'en trouver menacé. Mais il semblerait que nos sociétés modernes soient agencées de telle façon que nous n’ayons même pas l’occasion de nous interroger sur le phénomène.
Et quand des documents officiels sont révélés, ils soulèvent plus de questions qu’ils n’apportent de réponses.
L’hypothèse extra-terrestre
Imaginez-vous en voyageur intergalactique arrivant sur la terre et observant ce qu'il s'y passe. Vous revenez quelques centaines d'années plus tard et vous observez de nouveau la situation. Vous constaterez que, depuis que la terre est habitée par les hommes, ceux-ci se battent entre eux pour des problèmes ayant trait à la superficie de leur territoire, à leur foi, à la couleur de leur peau, à la nourriture.
A l'image des hommes qui ne sont pas tous dans le même camp, dans l’hypothèse extraterrestre les OVNI n'ont certainement pas tous la même provenance. Cela expliquerait leurs différences de formes, de couleur, d'intensités lumineuses. Leur différence d’origine pourrait aussi expliquer la dissemblance de leur comportement vis-à-vis de nous. Tentons de dégager des axes directeurs :
- Si vos intentions sont pacifiques, soit vous changez de planète, soit, méfiant, vous essayez de les raisonner en utilisant des subterfuges, en leur faisant croire qu'un être tout puissant les surveille et les punira si ils ne s'assagissent pas. En effet, si vous révélez votre existence en tant que simple observateur, ils seraient capables de vous trucider, l'expérience montrant qu'ils ont pour habitude de massacrer tout ce qu'ils ne comprennent pas.
Mais la difficulté à retenir cette hypothèse réside dans le fait que si un groupe d’être intelligent est assez avancé technologiquement pour venir jusqu’à nous sans se faire remarquer, on peut difficilement supposer qu’il ne le soit pas pour faire en sorte de se prémunir d’une éventuelle tentative d’agression.
- Si vos intentions sont belliqueuses, vous n'hésitez pas, vous pulvérisez les stupides habitants de cette planète qui, quand ils ne nuisent pas à leur environnement sous prétexte d’assurer leur développement, ne trouve rien de mieux à faire que de s'entretuer. En effet, le savant Suisse Jean-Jacques Babel a constaté en 1990 que depuis les 56 derniers siècles, l'humanité a mené 14 500 guerres qui ont provoqué trois milliards et demi de morts. Cela représente la moitié de la population mondiale d'aujourd'hui. Et ce ne sont pas les nouvelles causes de mortalités, notamment les attentats terroristes de grande ampleur, qui vont contribuer à améliorer ces statistiques.
Mais si cette hypothèse avait été la bonne, nous ne serions plus là pour en parler…
- En dernière hypothèse, vos intentions sont scientifiques.
Vous faites partie d’une race d’ethnologues. Vous vous résoudrez à étudier la race que vous découvrez dans son milieu naturel sans créer d'interférence de par votre présence. Ou alors vous limiterez votre intervention à un simple signalement grâce à des messages complexes et ambigus, comme pourraient l’être les crop-circles. Cette attitude justifierait le comportement discret, voir secret, des hypothétiques extraterrestres. Mais les OVNI ne datent pas d’hier, et le mode de vie des hommes a considérablement changé depuis l’époque à laquelle nos visiteurs ont laissé les premières traces de leurs visites. On peut supposer que l’étude s’étale sur des centaines d’années. Ce laps de temps est largement suffisant pour se faire une opinion sur les autochtones. La poursuite de la dissimulation ne s’explique donc pas par une simple volonté de renseignement, car si c’était le cas, nous ne trouverions pas de traces volontaires de leur passage. Il y a bien une volonté d’ingérence, et celle-ci se confirme par les manifestations aériennes dont certaines sont volontairement ostentatoires, les enlèvements, ou les mutilations animales.
Ces derniers exemples pourraient s’expliquer par l’état de santé précaire d’une race extraterrestre. Ces malades en voie d'extinction pourraient se livrer à des enlèvements et à des mutilations animales afin de trouver une solution médicale à leurs problèmes, ou des solutions génétiques pour la survie de leur espèce.
Mais là encore, on peut s’étonner qu’un groupe d’êtres vivants dotés d’assez d’intelligence et de technologie pour venir jusqu’à nous, n’ait pas les capacités de résoudre par lui-même ce type de problèmes, et procède à des expérimentations de cette nature tout en restant embusqué. On est aussi en droit de se demander ce qui les empêche de demander une aide officielle.
Focus sur les enlèvements
Il est intéressant de s’arrêter sur le phénomène des enlèvements d’humains par des extraterrestres, car en théorie, c’est le cas de rencontre le plus rapproché qui puisse exister. Nous allons développer ci-dessous les principales étapes de l’enlèvement, et retenir les particularités utiles à la suite du raisonnement.
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Etrange ressemblance entre la représentation que les victimes d'enlèvements font des " gris "
et ces dessins ancestraux trouvés en Australie. |
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Après avoir été témoin d’un phénomène visuel ou auditif, qui peut être perçu de façon différente par deux personnes qui sont pourtant soumises au même événement au même moment
2, le futur abducté voit le décor ambiant comme paralysé. Les éventuels témoins se retrouvent comme
« hors du temps » 3, figés dans leur position, incapable d’intervenir dans la scène d’enlèvement. Ensuite l’abducté voit apparaître ses ravisseurs qui communiquent généralement avec lui de façon télépathique. C’est alors que commence le missing-time, à savoir la période non mémorisée de l’enlèvement. Tout ce qui peut être raconté au sujet de ce qui se passe pendant ce laps de temps plus ou moins long est, sauf cas particulier, le résultat de régressions hypnotiques, et donc sujet à caution. Passé ce stade, l’abducté revient, quelquefois à un endroit différent de celui d’où il est parti, parfois à un moment qui ne correspond pas à la durée effective de son absence. Le temps passe plus ou moins vite pour l’abducté relativement au temps terrestre, et cet écart peut se compter en jour pour certains cas.
Le ravi sort de cette expérience exténué, fragilisé psychologiquement par de soudaines phobies, des insomnies et des anxiétés. Quelquefois il conserve des cicatrices ou des marques, il ressent des douleurs, il est l’objet d’infections. Des implants dont on a toujours du mal à déterminer la nature et l’objectif pourront être, difficilement toutefois, repérés sur le sujet. Mais ce dernier pourra aussi tirer avantage de cette expérience en bénéficiant de guérison subite, de dons psychiques, ou plus modestement d’un certain élargissement de sa conscience, de sa conception de la vie et du monde qui l’entoure.
Lorsque l’abducté est capturé dans sa voiture, cette dernière est capable de se mouvoir bien qu’aucune fonction thermique ou électrique ne soit plus en état de fonctionner à l’instant fatidique. Le trajet parcouru constaté à la fin de l’enlèvement ne correspond pas à la consommation de carburant.
Les caractéristiques des OVNI
D’après les observations, les OVNI sont généralement dotés de capacités d’accélération et de vitesse phénoménales, ils ont des effets électromagnétiques sur les véhicules, les radios, les télévisions et des effets magnétiques sur les montres et les boussoles, et il est fait état d’une forte luminosité. Mais on a aussi constaté une modification de la végétation à leur contact, ainsi que leur capacité à apparaître et disparaître soudainement.
On peut illustrer ces deux dernières particularités en prenant un exemple pour chacune.
Michel Bounias
Pour la première, nous retiendrons l’atterrissage d’un OVNI qui a eu lieu le 8 janvier 1981 à Trans-En-Provence. La gendarmerie interrogea le seul témoin, constata la présence de trace, et procéda aux prélèvements de plantes et de terre sur le site. Michel Bounias, biochimiste, fut chargé par le GEPAN (Groupe d’Etude des Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés), aujourd’hui remplacé par le SEPRA (Service d’Expertise des Phénomènes de Retombées Atmosphériques), d’analyser les échantillons. Michel Bounias déclare que « Des feuilles qui, d’un point de vue anatomique et physiologique, étaient de jeunes feuilles, présentaient au point d’impact les caractéristiques biochimiques d’un vieillissement avancé ! Ce que je peux affirmer, c’est qu’il s’est produit un phénomène, dont les traces peuvent être mises en évidence et être quantifiées. » Quant à la nature du phénomène ayant engendré ces « traumatismes » aux végétaux, il précise que « cela ne ressemble à rien de ce que je connais sur la planète. Il serait utile de comparer nos observations avec les effets d’autres agents physiques, par exemple des générateurs de champs électromagnétiques… »
Pour la seconde, nous nous pencherons sur une disparition soudaine d’un objet non identifié. Jean-Charles Duboc, commandant de bord sur Airbus 320, croise un OVNI le 28 janvier 1994 vers 13h00 à 10000 mètres à la verticale de Coulommiers. Cet objet de couleur rouge sombre et d’une largeur située entre 200 et 300 mètres s’est dématérialisé en une trentaine de secondes. L’objet a laissé une trace sur les radars de l’OTAN, trace qui confirme l’envergure et la disparition évanescente et énigmatique de l’OVNI.
L’expérience de Philadelphie
Carlos Miguel Allende affirme être le seul survivant d’une expérience secrète qui aurait été menée au chantier naval de Philadelphie, aux Etats-Unis, en 1943. Selon lui, les militaires américains qui faisaient des expérimentations sur le camouflage au moment de la guerre, auraient chargé des scientifiques de faire disparaître un contre-torpilleur de la Marine américaine. Le bâtiment aurait disparu au bout de 60 secondes dans une brume verte, et serait réapparu 4 heures plus tard. Une partie de l’équipage aurait été retrouvée scellée au pont.
Nikola Tesla a été à l’origine de cette expérience autrement appelée
Projet Rainbow, et poursuivi par
Von Neumann4.
L’auteur de ces révélations ajoute que c’est lors de ces expériences sur l’invisibilité que la Marine américaine aurait découvert par hasard la force motrice des OVNI.
En 1989, lors d’une convention d’Ufologues se déroulant à Phoenix, en Arizona, un home s’appelant Al Bielek prétend également avoir travaillé sur l’expérience de Philadelphie sous le nom d’Edward Cameron. Il prétend également que l’expérience aurait attiré l’attention de trois OVNI qui seraient apparus juste avant la prétendue disparition du navire USS Eldridge. Bielek croyait que le chef de l’équipe, l’inventeur yougoslave Nikola Tesla, était en contact quotidien avec des extraterrestres depuis le début du projet.
Une MHD hybride
La propulsion magnétohydrodynamique (MHD) pourrait être retenue comme un des systèmes le plus en adéquation avec une partie des manifestations qui précèdent. Ce dispositif consiste à ioniser le fluide gazeux ou liquide environnant. À partir du moment où, par exemple, l'air entourant la machine a été rendu conducteur d'électricité, il est possible d'exercer des forces, dites forces de Laplace. La MHD expliquerait les vitesses vertigineuses, les perturbations constatées de par le champ magnétique engendré par l’appareillage, ainsi que la luminosité des objets eu égard à la décharge électrique expulsée dans l’air ambiant.
De plus, bien que la
MHD permette la propulsion d’engins, la force de déplacement ne correspond pas à une force de réaction qui a pour effet de rejeter en arrière l’air ou le gaz nécessaires à la propulsion. Lors de son déplacement, l’objet, ainsi que l’espace qui l’entoure, est pris dans un champ magnétique. Ce type de déplacement nous amène à nous «
poser des questions sur notre physique la plus avancée, sur la nature de la gravitation, celle de l’inertie, sur l’égalité entre les masses inertielle et gravitationnelle. »
5
Mais on voit bien que la théorie de la MHD est insuffisante pour résoudre l’énigme des modifications biologiques, des apparitions ou des disparitions spontanées, ou bien encore d'un voyage au-delà de zones pourvues d'atmosphère ou d'un milieu liquide.
Il se peut que les capacités d'une
MHD améliorée, ou couplée à d'autres dispositifs, permettent à des voyageurs d’accélérer leur déplacement, voir de l’étendre à des horizons qui nous paraissent inatteignables en l’état actuel de nos connaissances, en flirtant avec l’ergosphère. Autrement appelée «
horizon événementiel », cette zone correspond à la région située entre la limite du champ gravitationnel et la «
surface » d’un Trou Noir. La forte gravité qui règne au sein de ce dernier a pour particularité d’inverser les propriétés de l’espace-temps : «
les dimensions spatiales se transforment en paramètres temporels. Autrement dit, au cœur d’un Trou Noir on peut observer simultanément le passé, le présent et le futur de l’Univers. »
6
La Chrononautique
La Chrononautique est la science hypothétique du voyage dans le temps. C’est la théorie de la relativité qui lui donna naissance, liant le temps à la vitesse et à la gravitation. Cette théorie se divise en deux.
D’une part on a la relativité générale pour laquelle on observe une dilatation du temps lorsque l’on voyage à grande vitesse (le temps s'écoule lentement).
D’autre part on a la relativité restreinte pour laquelle on observe une contraction du temps lorsque l’on se situe dans un champ gravitationnel plus faible (le temps s'écoule plus vite).
Grâce à la maîtrise d'une technologie décuplant les possibilités de la
MHD et une bonne connaissance des propriétés du Trou Noir, le voyage spatio-temporel ne serait plus une utopie.
Albert Einstein et
Nathan Rosen supposèrent que certains trous noirs (ou puits gravitationnels) pouvaient déboucher sur un autre puits symétrique appelé fontaine blanche.
Ce raccourci dans l'espace-temps, appelé « pont d'Einstein-Rosen », relie ainsi deux points très éloignés dans l'univers par une incursion dans une quatrième dimension spatiale.
Dans les années cinquante, le physicien
John Archibald Wheeler leur donnera le nom de «
Trous de Ver ». Aujourd'hui, des physiciens quantiques émettent l'hypothèse que des
Trous de Ver apparaîtraient et disparaîtraient en permanence au niveau subatomique, dans ce que l'on appelle le «
vide quantique », où surgissent des topologies, c'est-à-dire des structures de l'espace-temps, différentes de celles de notre espace-temps
7.
Mais il s’avère qu’une expédition par le biais d’un
Trou de Ver poserait des problèmes de localisation et de stabilité du passage.
Kip Thorne apporta une solution à ce problème en 1985. Il démontra que la seule manière de préserver la stabilité structurelle d'un trou noir serait de le tapisser d'une matière anti-gravitationnelle, ce qui produirait un champ anti-gravitationnel.
Or justement, en 1996, ce phénomène a été mis en évidence expérimentalement. Il porte le nom d'
effet Casimir. Si l'on impose un fort champ électrique entre deux plaques séparées par le vide, le champ impose au vide une telle tension qu'il l'oblige à fluctuer jusqu'à ce qu'il donne naissance à des électrons. Cela revient à extraire de l'énergie du vide
8, comme le pressentait déjà
Nikola Tesla9 au début du siècle. De plus on sait que le soleil et les planètes engendrent des ondes gravitationnelles d'intensité beaucoup trop faible pour être détectées
10.
Néanmoins, il n’est pas insensé d’imaginer que nous puissions un jour exploiter ces ondes.
T. Henry Moray pense qu’un jour on produira des fréquences qui neutraliseront la force de gravitation, ce qui s’est peut-être déjà produit lors de l’expérience de Philadelphie où d’après
Al Bielek, vingt mégawatts d’impulsion de radiofréquence électrique ont été employés pour rendre invisible le
Eldridge.
Avant longtemps, nos machines seront alimentées par une énergie disponible en tout point de l'univers.
Nikola Tesla
Il est indéniable que nos connaissances sur les liens qui peuvent exister entre l’espace, le temps et la gravitation ne pourront que s’accroître. En 1931 l’éditeur de la revue « Science & Mechanics », Hugo Gernsback, déclare : « Beaucoup de scientifiques pensent que la force de gravitation est une autre manifestation des ondes électromagnétiques ». On peut donc envisager qu’une évolution de la technique MHD permette un déplacement dans une dimension qui nous paraît infranchissable, en agissant de façon conséquente non seulement sur la vitesse, mais aussi sur la gravitation grâce à des lois que nous ne connaissons pas encore. C’est alors que s’expliqueraient les disparitions soudaines d’objet ainsi que le vieillissement prématuré des organismes vivants entrant en contact de façon accidentel avec cette technologie.
La conspiration du silence
Les visiteurs autant que les gouvernements se gardent bien d’officialiser quoi que ce soit, laissant les ufologues se quereller et se ridiculiser aux yeux d’un grand public qui ne les assimile plus qu’à des amateurs de science-fiction qui auraient dépassé la dose maximale.
Cette conspiration du silence et de la discrétion bilatérale pourrait laisser supposer à l’existence d’un accord, mais étant donné la variété et l’ancestralité des manifestations, on aurait plutôt tendance à penser à une loi universelle, naturelle et intemporelle qui s’imposerait à tous.
Mais quelle loi justifierait que nos gouvernants gardent le silence sur des exactions commises sur des membres de l’humanité, quelle loi empêcherait les visiteurs de se manifester publiquement bien qu’ils en aient apparemment les moyens ?
La loi que l’on pourrait présumer à l’origine de ce silence concerne également l’hypothèse que nous avons formulée dans l’étude des enlèvements extraterrestres, puisque l’une ne peut pas aller sans l’autre. Il s’agit du paradoxe, sous-tendu par la chrononautique, c'est-à-dire le voyage spatio-temporel.
En effet, il convient de se demander ce qu’il adviendra de notre présent si j’influence de façon important le passé, par exemple en assassinant Hitler avant son élection. Il serait judicieux de savoir si je serais moi-même touché par la modification, par exemple si je tue mon grand-père avant qu’il ne soit mon grand-père. De retour dans le présent, il est envisageable que je sois rattrapé par un tremblement de temps pour disparaître dans un éclair de lumière ainsi que toute ma progéniture… Mais il est aussi possible que le, ou les voyageurs, soient les seuls à ne pas être sensibles aux modifications qu’ils pourront effectuer, puisqu’ils se situent hors du temps. Quand ils réalisent l’action dans le passé, celle-ci n’a pas d’influence directe sur eux puisqu’ils n’appartiennent pas à cette époque, et quand ils reviennent dans le présent, on peut supposer que la modification a déjà produit ses effets.
Ce serait donc pour éviter ces problèmes de paradoxes que les manifestations ufologiques ont quasiment toutes le même souci de discrétion. Cette généralisation nous amène à poser l’hypothèse que toutes ces manifestations pourraient donc être le résultat de voyage spatio-temporel.
Ces missions pourraient par exemple avoir pour but de retrouver une méthode pour relancer la fertilité. Cette dernière pourrait avoir atteint un niveau critique qui menacerait la survie de l’humanité. Les problèmes de pollutions d’une époque future que l’on nous prévoit déjà pourraient en être la cause. Grâce aux enlèvements et aux actes chirurgicaux pratiqués sur les organes de reproduction de personnes vivant à l’époque présente, les visiteurs sont peut-être en train de sauver nos petits enfants.
Mais ces missions pourraient aussi simplement avoir pour objet de retrouver des sciences oubliées. Quel égyptologue ne serait pas tenté de retourner au temps des pyramides pour vérifier si ses théories sont les bonnes ?
A moins que l’on ne se range derrière l’avis de
Al Bielek, le témoin de l’expérience de Philadelphie. D’après lui, toute l’expérience relevait d’une conspiration extraterrestre visant à créer une faille temporelle de 40 ans, ce qui aurait permis à des millions de «
Gris » d’envahir notre zone temporelle
11.
La différence de nature des vaisseaux de transport peut s’expliquer quant à lui par le niveau de technologie de l’époque d’où vient le voyageur. Un voyage dans le temps nécessite un calcul précis de l’endroit où vous voulez vous retrouver. Si la technologie du voyageur n’est pas assez performante, le point de chute sera d’autant plus approximatif qu’il nécessitera des moyens de transport pouvant évoluer dans l’eau, dans l’air, ou dans l’espace, et ce pour diminuer les risques pour la mission. A contrario, le voyageur bénéficiant d’une technologie d’avant-garde pourra se retrouver directement sur votre palier… TOC, TOC ! J
L’humanité future serait donc mise en présence de problème l’obligeant à se replonger dans le passé pour trouver des solutions. Si l’on retient le problème du paradoxe, on peut imaginer la complexité de la régulation nécessaire non seulement pour gérer les multiples retours des civilisations dotées de la technologie du voyage spatio-temporel, mais aussi la surveillance nécessaire à ces voyageurs pour éviter tout évènement pouvant causer un paradoxe. La découverte médiatisée d’une soucoupe volante serait préjudiciable au monde futur, et il faudra que tout soit fait pour faire oublier à la majorité de la population cet évènement.
La conspiration du silence autour du phénomène ufologique ne serait alors pas justifiée par un quelconque plan de dominations de races supérieures reptiliennes, mais simplement motivée par la nécessité de sauvegarder notre futur.
Au-delà du paradoxe
Néanmoins, il m’est difficile de passer outre le problème des paradoxes temporels. L’hypothèse chrononautique est loin d’être la seule pour expliquer le phénomène OVNI, mais ce qu’elle a de commun avec les autres c’est qu’elle nous laisse avec des questions sans réponses. A mon avis, la disposition de ces impasses intellectuelles qui nous font perdre notre temps n’est pas due au hasard.
Alors résumons ce que nous savons de par l’observation des OVNI : capacités d’accélération et de vitesse phénoménales, effets électromagnétiques et magnétiques, forte luminosité, traces sur le sol et modification de la végétation à leur contact, capacité à apparaître et à disparaître soudainement.
Deux problèmes se posent à partir de là.
Le premier consiste à faire le tri entre les manifestations inexplicables, et celles qui sont le résultat d’expérimentations gouvernementales.
Le second touche notre propre interprétation des évènements. Nous ne voyons que ce que notre cerveau veut bien nous laisser voir. Nos organes de perception ont des capacités limitées. Par exemple, nous n’entendons pas les ultrasons ou ne voyons pas les infrarouges alors qu’ils existent. L’observation des OVNI se fait souvent de manière inattendue, interdisant de fait l’utilisation d’un matériel adéquat permettant une étude plus poussée qui pallierait en partie à nos incompétences. Cette étude ne pourra avoir lieu qu’à posteriori, et ce toujours sans omettre la possibilité d’une manipulation gouvernementale.
C’est pour ces raisons qu’avant d’essayer de comprendre ce que notre perception biaisée nous laisse entrevoir, il serait judicieux de se représenter la nature de ce qui nous entoure dans son intégrité. Si nous ne pouvons tout voir, nos capacités intellectuelles nous permettent de tout concevoir. Notre imagination (faculté de se représenter par l’esprit des faits jamais perçus) n’aura alors pas pour but de réaliser un scénario de science fiction, mais de passer outre les «
tuniques d’aveugles »
12 qui nous masquent la réalité.
La théorie des Cordes
A notre échelle, et de par notre perception, nous avons tendance à classer les éléments qui nous entourent de par leurs apparences. Nous avons séparé les formes minérales, des formes végétales et animales, et leur avons même donné un ordre dans l’évolution. Mais l’histoire de notre monde et de nos sciences s’est bâtie sur des fondations modernes qui n’ont laissé la place qu’à une vision cartésienne des choses. Seule cette démarche a le droit de citer au panthéon scientiste actuel. Mais cette démarche est fallacieuse pour la même raison que
l’observation ufologique nous induit en erreur : elle est le résultat d’une observation par l’intermédiaire de la « valve de réduction »13 que constitue le cerveau.
Puisque l’observation se trouve impuissante à expliquer le monde par sa nature intrinsèquement réductrice, il faut s’en passer et réfléchir de façon purement théorique. Nous suivons donc cette démarche quand nous changeons d’échelle, et que nous arrivons à l’hypothèse pour laquelle les particules et les forces qui sont à la base de toute matière, animée ou inanimée, ne sont que la manifestation du frémissement de minuscules cordes. La
théorie des Cordes fait intervenir des entités infiniment infimes qui vibrent ou résonnent selon certaines fréquences et donnent ainsi naissance aux particules fondamentales
14.
Les physiciens ont démontré que ces cordes ne pouvaient vibrer que dans un univers à 10, 11, voire 26 dimensions. Seules trois nous sont perceptibles, mais on peut en deviner certaines par l’expérience. Si on place un aimant au-dessus d’un morceau de métal, celui-ci va monter vers l’aimant. L’aimant se trouve donc être plus puissant que l’énorme gravité terrestre qui attire les objets vers le bas. Cela est totalement illogique si on n’admet pas l’existence d’autres dimensions où la gravité perdrait l’essentiel de son temps et de sa force
15.
Fort de ce savoir, il ne nous est pas interdit d’imaginer d’autres dimensions. Il ne nous est pas interdit non plus d’imaginer d’autres formes d’intelligences ou d’existences. En effet, nous percevons, déjà partiellement, le résultat de la vibration de ces « cordes » par l’intermédiaire de notre perception tridimensionnelle. Mais la filtration réductrice de notre cerveau ne doit pas nous empêcher d’envisager l’existence d’un monde plus complexe que la perception que nous en avons. Nous sommes conscients des manifestations de la vie et de l’intelligence sous les formes où il nous est donné de les percevoir, mais ces formes ne représentent apparemment qu’une partie du potentiel créatif des « cordes ». Le reste de ce potentiel se manifeste dans des dimensions auxquelles nous n’avons pas accès. Mais ceux qui y résident possèdent peut-être les connaissances suffisantes pour nous rendre visite.
Lisa Randall
Car si l’on en croit Lisa Randall « les dimensions supplémentaires ne modifient pas les lois de la physique, mais elles constituent une nouvelle arène pour les utiliser ». Cette physicienne de Harvard fait partie de ceux qui pensent que certaines dimensions pourraient ressembler à celles que nous connaissons. La multiplicité de dimensions aux propriétés semblables expliquerait peut-être à la fois les différences observées dans la nature des phénomènes non identifiés, mais aussi la proximité de certains d’entre eux avec les caractéristiques de nos aéronefs les plus évolués.
La nature multiple de ces dimensions pourrait expliquer que la conscience ne se limite pas au résultat d’un processus biologique, mais existe sous une autre forme, résolvant de ce fait nombre d’énigmes paranormales. L’expérience de la conscience telle que nous la vivons ne serait qu’une de ces manifestation dans nos dimensions, où «
l’esprit se projette dans la matière afin d’avoir conscience de son existence »
16.
La perception dénaturée
La théorie des cordes a mis en relief les dimensions qui nous restent inaccessibles. Mais si elle résout certaines énigmes de la physique, elle ne nous laisse pas moins avec notre perception réduite de la réalité dans la vie de tous les jours. Il faut croire qu’il n’en a pas toujours été ainsi si l’on étudie nos ancêtres reptiliens. Avant cela, il est utile de préciser que l’évolution de l’espèce humaine au cours des millions d’années comporte des caractéristiques communes avec l’ensemble des vertébrés jusqu’à un certain stade de croissance. Après cinq semaines, la colonne vertébrale de l’embryon humain se présente sous la forme d’une petite queue qui rappelle notre lien étroit avec les reptiles
17.
Observons maintenant le lézard
Tuatera (ou Hatteria, Tuatara, Hateria) de la Nouvelle-Zélande. Ce reptile est le dernier représentant sur terre d'un animal qui évolua conjointement au dinosaure il y a 220 millions d'années. C’est le seul reptile connu qui possède un œil au sommet de la tête. «
Il y a des millions d'années, un grand nombre des fantastiques habitants de notre planète étaient pourvus d'un troisième oeil, mais celui-ci disparut peu à peu, bien que, chez tous les vertébrés, l'homme compris, il en reste une trace. C'est ce qu'on nomme la glande pinéale, qui, chez l'homme, consiste en un petit appendice conique, gris et rougeâtre, rattaché au troisième ventricule du cerveau »
18.
Si cette phase de réversion a eu lieu pour tous les vertébrés, il est logique d’en déduire que les êtres humains étaient aussi pourvus d’un troisième œil. Ce dernier était actif au temps où l’élément spirituel régnait en maître chez l’homme. Puis les deux yeux physiques de face se développèrent et se complexifièrent au fur et à mesure que le troisième œil s’atrophia
19.
La théorie des cordes nous amène à penser que tout ce qui nous entoure, et tout ce qui nous compose, n’est qu’onde et vibration. On peut aisément imaginer que ces vibrations aient mis un certain temps avant de former les particules fondamentales nécessaires au développement de notre univers et de tout ce qui l’habite. On peut alors émettre l’hypothèse qui voudrait que si une vibration va jusqu’à se matérialiser pour avoir conscience de son intelligence, elle ait pu passer par des stades antérieurs d’évolution dont il ne resterait aucune trace archéologique, de par leurs natures à mi-chemin entre onde et matérialité. Les êtres ainsi formés auraient eu des capacités psychiques supérieures à leurs capacités intellectuelles. Le développement physique nécessaire au siège des fonctions intellectuel se serait fait au détriment des capacités psychiques. Ces stades d’évolution expliqueraient la naissance, entre autres, d’organes de perception adaptés, comme le troisième œil aujourd’hui devenu glande pinéal. On peut noter au passage que cette évolution positionne l’existence du mental avant l’existence du corps, contrairement à ce qu’est tentée de penser la science contemporaine. Si l’on ramène cette hypothèse évolutive, que je ne fais qu’effleurer, à l’échelle universelle, ou multidimensionnelle, on se trouve face à une situation complexe mélangeant des êtres plus ou moins matérialisés, et possédant plus ou moins de capacités psychiques.
Une nouvelle religion
Aujourd'hui, les américains seraient outrés si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour rétablir l'ordre.
Demain, ils leur en seront reconnaissants ! Ceci est spécialement vrai si on leur disait qu'il existe une menace extérieure, réelle ou fictive, mettant en péril notre existence même.
Alors tous les peuples du monde supplieront leurs dirigeants de les délivrer de ce mal.
Tout le monde craint l'inconnu. Quand les gens connaîtront ce scénario, ils abandonneront leurs droits individuels en échange de la protection de leur bien-être par les gouvernements.
Il me semble évident que les gens ne sont pas prêts à entendre tout ce que savent certains de nos dirigeants.
Peut-être que nos visiteurs extraterrestres peuvent décider qui est prêt pour la vérité et qui ne l'est pas. Peut-être est-ce une question de choix individuel.
Henry Kissinger, Evian, le 21 mai 1992.
Le fait de résumer le phénomène OVNI à des hypothèses qui ne remettent en cause que de façon limitée notre évolution (par une éventuelle intervention génétique de leur part) et le sens de notre vie (par un enseignement dont la substance se trouve déjà être défloré par le channeling…) ne satisfait que ceux qui veulent nous cacher la vérité à ce sujet. La révélation de la véritable nature des objets volants non identifiés, pour ceux qui ne sont pas le fait de manipulations gouvernementales, nous éclairerait sur les lois qui régissent l’univers. Mais ces lois sont tellement éloignées de notre vision matérialiste et à court terme que leur officialisation en déstabiliserait plus d’un. Il suffit de prendre un peu de recul pour constater que les repères puérils grâce auxquels nous construisons nos vies ne s’accordent pas avec le sens de l’évolution. Il est évident que, soit par ignorance, soit à cause de manipulations, nous nous contentons de mener des existences sans issues. Nous sommes dotés de capacités rationnelles nous permettant de réaliser notre finitude physique, et cependant nos sociétés privilégient le matérialisme et le consumérisme à la recherche du sens. Ainsi nous poursuivons notre chemin selon un cycle qui ressemble à celui des produits que nous consommons. Nos destinées sont orchestrées au rythme des opérations promotionnelles. Il n’y a pas meilleur régulateur social que le désir de possession qui nous habite. Cela explique qu’officiellement, rien n’est fait pour résoudre le non sens d’une existence qui limite progressivement nos fonctions à la production et à la consommation, si ce n’est une majorité d’études si emprisonnée dans un scientisme borné qu’elles ne mèneront à rien.
Ceux qui s’émeuvent de cette apparente injustice, et qui ne tombent pas en dépression face à ce qui nous semble être un état de consommateur mortel en sursis, ont tendance à chercher des réponses dans le paranormal. Quand le filtre religieux a été dépassé, ce sont les mouvements sectaires qui prennent le relais, puis, ensuite, la série des mystères sans explication dont fait partie le domaine ufologique. Pour ceux qui tiennent les rênes du système, peu importe que les OVNI soient des manifestations extraterrestres ou spatio-temporelles. Ce qui est nécessaire, c’est que les hypothèses ne viennent pas mettre à mal le fonctionnement économique et financier de la planète, les fondements de certaines croyances, et les racines des peurs ancestrales qui cimentent la société. On peut même supposer que les révélations savamment distillées par de soi-disant membres repentis issus de milieux bien informés n’aient pour but que de faire naître de nouvelles croyances et de nouvelles peurs. D’une nature différente, des croyances et des peurs ont été portées à un apogée dramatique par l’intermédiaire d’un élève de la CIA, Ben Laden. Une fois l’excuse du terrorisme épuisée, la poursuite du nouvel ordre mondial aura recours à l’ultime stratagème unificateur, une nouvelle religion (lat. religio "vénération", de relegere "recueillir, rassembler") dont la mise en place ne date pas d’hier.
...Obsédés par les rivalités du moment, nous oublions souvent tout ce qui unit les membres de l'humanité. Peut-être avons-nous besoin de quelque menace mondiale extérieure afin de prendre conscience de ce lien. Je pense quelquefois que nos différences disparaîtraient très vite si nous devions faire face à une menace extraterrestre.
Et pourtant, je vous le demande : Une force extraterrestre n'est-elle pas déjà parmi nous ?
Ronald W. Reagan (1981-1989),
42e Assemblée Générale des Nations Unies du 21 septembre 1987.
Notre perception de la réalité est dénaturée autant du point de vue spatial que du point de vue historique. Elle l’est de part notre déficience psychique inhérente à notre évolution. Seulement dans la nature, rien ne se perd, tout se transforme. Notre déficit psychique a été remplacé par un accroissement intellectuel. Il se trouve que notre incompréhension vis-à-vis des véritables phénomènes paranormaux ou de l’apparent non-sens de nos vies n’est que le résultat d’un maelström organisé. Ce dernier nous entraîne dans l’erreur à cause de notre paresse intellectuelle savamment entretenue par tous ceux qui y trouvent de l’intérêt, ou à cause des fausses pistes que les mêmes manipulateurs proposent à ceux qui ont encore le courage de chercher. Les véritables manifestations ufologiques doivent nous inciter à poursuivre nos recherches.
Les solutions apportées au problème OVNI ne sont que des mensonges supplémentaires pour servir la cause de ceux qui ont intérêt à nous tenir dans l’ignorance. Admettre et apporter de vraies réponses sur l’existence des OVNI reviendrait à expliquer les pouvoirs des forces occultes, les lois de l’univers, ainsi que, par voie de conséquence, le sens de la vie.
Mais dans l’état actuel des choses, certaines de ces connaissances apporteraient des pouvoirs trop considérables pour le peu de sagesse dont fait preuve l’humanité. Cela explique à la fois que les vrais OVNI se fassent le plus discret possible, mais aussi qu'une certaine élite ayant connaissance de certains de ces pouvoirs ne se gène pas pour en faire usage, aux risques et périls de l’ensemble de la planète.
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Sources :
1 Autrefois les OVNI, Richard D. Nolane, CGR Editions, 1998, p22.
2 Affaire FO970705 2 C anciennement disponible sur le site de Jean-Luc Lemaire - http://jeanluclemaire.fr/
3 On retrouvera ce thème sous la qualification de « gel temporel » au sujet d’un voyage hypothétique à proximité d’un trou noir : « A l’intérieur de la fusée, les minutes sembleraient s’écouler normalement. Mais si l’astronaute avait la curieuse idée de regarder à travers le hublot, il constaterait une accélération des évènements (…). En revanche, le centre de Houston aurait l’impression de voir notre astronaute évoluer au ralenti. » Source : Le Temps Manipulé, Luc Mary, Editions Lanore.
4 La technologie d'Orion et autres projets tenus secrets par Valdamar Valerian (c) 1992, Traduit de l'américain par Tristan Perrier (c) 2002, http://www.onnouscachetout.com/themes/technologie/orion-valerian.php (Texte à lire avec circonspection).
5 Aimé Michel dans La Nouvelle Vague des Soucoupes Volantes de Jean-Claude Bourret ; France-Empire, 1974.
6 Le Temps Manipulé, Luc Mary, Edition Lanore, 1996.
7 Science et voyage dans le temps, http://casar.pagesperso-orange.fr/VOYtemps.htm
8 Les univers parallèles et les voyages temporels, http://fbon.free.fr/science.html
9 Nikola Tesla - Deuxime partie : les applications
10 Histoire de la gravitation : Einstein, 7.4.2 Les ondes gravitationnelles, http://www.aim.ufr-physique.univ-paris7.fr/CHARNOZ/homepage/GRAVITATION/grav7.html
11Philadelphia Experiment, Facteur X, n34.
12Les récits bibliques de la création, Paul Nothomb, Editions de la Différence, 1991.
13 Les portes de la perception, Aldous Huxley, Editions du Rocher, 2000.
14 Sur la piste des mondes parallèles, Science et Vie, n° 1018, juillet 2002.
15 Dieu au coeur du cosmos - Stephen Hawking, Hugues Mari, Paris Match, n° 2735, 25 octobre 2001.
16 Science dans la lumière, Jacqueline Bousquet, St Michel Edition, 1992.
17 Le miracle de la vie, Lennart Nilson, Video Editions Montparnasse 2000.
18 Moeurs étranges des reptiles, A. Hyatt Verrill, 1943.
A. Hyatt Verrill est un naturaliste américain né en 1871 qui dirigea plusieurs expéditions scientifiques et réalisa plusieurs ouvrages, fruit de ses observations.
19 La doctrine secrète, Tome 3, H.P. Blavatsky, éditions ADYAR, 2000.
Témoignage de Michel Bounias : Atterrissage Trans-en-Provence, Facteur X, n19.
Des photos d'OVNI sur le site suivant : http://photovni.free.fr/html/glossair.htm