Nikola Tesla
Deuxième partie :
les applications
En 1971, Oleg Jefimenko, un savant de la
West
Virginia University, annonçait la mise au point du premier moteur alimenté par le
champ électrique de la Terre. Il avançait que son moteur pouvait servir à écarter la
pénurie d'énergie qui frappait alors l'occident. Cependant les détails de son invention
furent vite mis sous silence. On sait que son système faisait appel à un moteur
électrostatique pour produire du mouvement et, donc, de l'énergie. Son premier
générateur aurait fonctionné avec un câble soulevé par un ballon qui devait servir à
court-circuiter les différences de tension relevées à la surface de la Terre et à une
altitude de 500 mètres. Son système produisait environ 75 watts d'énergie continuelle
avec comme seule source d'énergie le champ électrique de la Terre.
Ultérieurement, ce système aurait exploité le différentiel des champs magnétiques
terrestres non seulement à des altitudes différentes (il mettrait à profit les
processus de conductivité de haute altitude et de sous terrain nouvellement découverts),
mais aussi à différentes latitudes hémisphériques. Ce procédé rendrait
l'électricité bon marché n'importe où sur la Terre, sans le problème du transport et
des câbles.
Nikola Tesla déclarait :
" Les
courants alternatifs, particulièrement ceux de fréquence élevée, traversent avec une
facilité étonnante les gaz, même peu raréfiés. Les strates supérieures de
l'atmosphère étant raréfiées, les seules difficultés à surmonter pour atteindre une
distance de plusieurs kilomètres dans l'espace sont de nature purement mécanique. Il ne
fait aucun doute qu'avec les potentiels énormes que l'on peut atteindre en utilisant les
hautes fréquences et le procédé d'isolation à l'huile, les décharges lumineuses
peuvent traverser de nombreux kilomètres d'air raréfié;
grâce à cette énergie de plusieurs centaines de milliers de chevaux-vapeur, les
moteurs ou les lampes pourront être actionnés à des distances considérables des
sources fixes.
(...)
Avant longtemps, nos machines seront alimentées
par une énergie disponible en tout point de l'univers. L'idée n'est pas nouvelle.
Nous la trouvons dans le mythe d'Anthée, qui tire de l'énergie de la Terre. A travers
tout l'espace se trouve de l'énergie. Cette énergie est-elle statique ou cinétique? Si
elle est statique, nos espoirs sont vains; si elle est cinétique - et nous savons qu'elle
l'est - les hommes réussiront bientôt à connecter leurs machines aux grands rouages de
la nature."
Cette invention n'eut pas de suite publique, comme celle de Nikola Tesla qui
fut empêché par le banquier
J.P. Morgan (1837-1913), lequel coupa les
fonds à l'inventeur et fit obstacle à tout nouveau financement. Ce veto ne posait pas de
problème à J.P. Morgan, étant donné qu'il était membre du "
comité des 300 ". Cet
organisme a été créé en 1729 par la
BEIMC (British East India Merchant Company) pour
s'occuper des affaires bancaires et commerciales internationales, et compte les
représentants les plus importants des nations occidentales. J. Pierpont Morgan est à
l'origine de la
General Electric Company. Son but était de s'assurer le contrôle de la
future électrification de l'Amérique, ce qu'il fait en implantant les systèmes qu'il
finance avant ses concurrents, rendant le prix de tout changement prohibitif.
Mais ces travaux n'étaient que la partie apparente de l'iceberg. En 1956, la
revue Interavia publia l'article intitulé: " Vers
la locomotion aérienne... sans contrainte et sans poids ". Cet article
expose les possibilités de l'" électrogravitativité ". Nous nous intéresserons
ici seulement à l'extrait qui traite de l'exploitation des champs électromagnétiques :
"Dans le cas des automobiles, des trains, des navires, les difficultés
qu'implique la transmission de l'énergie du moteur aux roues ou hélices cesseront tout
simplement d'exister. La construction des ponts, des immeubles, etc.; se trouvera
considérablement simplifiée par le recours à l'annihilation induite du poids. D'autres
aspects des travaux entrepris suggèrent la possibilité d'une action sur la pousse des
végétaux, de nouvelles techniques thérapeutiques, de systèmes de chauffage permanent
sans combustible à l'intention des habitations et établissements industriels, de
nouvelles sources d'énergie industrielle, de nouvelles méthodes de construction, d'un
secteur entièrement nouveau de la chimie.[...] Cette nouvelle science [...] offre dans le
domaine des communications des possibilités qui confondent l'imagination. Il existe
apparemment dans l'éther une catégorie insoupçonnée d'ondes électriques identiques
fondamentalement aux ondes électromagnétiques de la radio. Des ondes
électrogravitatives ont été produites et émises à travers des couches concentriques
constituées par les matériaux de blindage électromagnétique et électrostatique les
plus efficaces, sans aucune perte apparente de puissance."
Tesla avait déjà
découvert un système qui permettait de transmettre des quantités presque illimitées
d'énergie électrique n'importe où sur terre avec des pertes négligeables.
Ci-dessous figure la carte des bases
souterraines de la planète :
Si, à l'instar de Tesla, l'on considère la planète comme une
sphère de fluide électrique, on peut comprendre comment un circuit résonnant utilisant
la Terre comme conducteur pourrait générer de très hautes tensions aux antipodes
d'émetteurs à très basses fréquences (
TBF) situés sur ou sous terre.
Il est intéressant de constater que le quartier général (d'un
coût de 10 milliards de dollars) du North American Air Defense (
NORAD) est
enfoui à un kilomètre et demi sous le mont Cheyenne. L'antipode de sa station se
situerait près d'un petit groupe d'îles dans la partie sud de l'océan indien. Se
pourrait-il que les sous-marins électriques ultras secrets des Américains rechargent
leurs batteries à plasma dynamique à cet endroit ?
En plein centre de l'Australie, très près du tropique du Capricorne, à
précisément 23° 48" Sud sur 133° 43" Est, se situe le centre TBF de l'American
Defense Advanced Research Project Agency (
DARPA), appelé communément base de Pine
Gap. Cette base est installée sur le puits d'eau le plus profond et le plus droit jamais
foré en Australie. Il a une profondeur d'au moins
8 535
mètres. Il pourrait servir d'antenne souterraine pour la diffusion d'électricité à
très basse fréquence à son antipode qui se situe très près du tropique du Cancer, au
centre du seuil atlantique.
L'émetteur situé au nord de West-Cape, toujours en Australie, prés de la Baie
d'Exmouth, a, quand à lui, son antipode qui se trouve être au centre du "Triangle
des Bermudes"...
En Russie, l'émetteur
TBF de Riga, sur la côte Baltique, émet depuis octobre
1976 un signal d'une extrême largeur de bande qui dure de dix secondes à quelque fois
trois minutes. Est-ce simplement un dispositif de brouillage de fréquences? Presque à la
même époque, selon un rapport d'Edward Campbell du London Evening News en juin
1978, "les Russes avaient fait la chasse dans tout le pays à toute personne qui
avait connu ou rencontré Tesla".
Il est intéressant de consulter la
"Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de
modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins
hostiles",signée par les pays membres de l'ONU à Genève et entrant en vigueur le 5
octobre 1978 et d'y relever :
" Reconnaissant que
les progrès de la science et de la technique peuvent ouvrir de nouvelles possibilités en
ce qui concerne la modification de l'environnement, (...)
Conscients du fait que l'utilisation des techniques de
modification de l'environnement à des fins pacifiques pourrait améliorer les relations
entre l'homme et la nature et contribuer à protéger et à améliorer l'environnement
pour le bien des générations actuelles et à venir,
Reconnaissant, toutefois, que l'utilisation de ces techniques à des fins
militaires ou toutes autres fins hostiles pourrait avoir des effets extrêmement
préjudiciables au bien-être de l'homme,
Désireux d'interdire efficacement l'utilisation des techniques de modification de
l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, afin d'éliminer
les dangers que cette utilisation présente pour l'humanité, et affirmant leur volonté
d'oeuvrer à la réalisation de cet objectif,(...)
Article premier
1.
Chaque Etat partie à la présente Convention s'engage à ne pas utiliser à des fins
militaires ou toutes autres fins hostiles des techniques de modification de
l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyens de
causer des destructions, des dommages ou des préjudices à tout autre Etat partie. (...)
Article II
Aux fins de l'article premier, l'expression "techniques de modification de
l'environnement" désigne toute technique ayant pour objet de modifier - grâce à
une manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la
structure de la Terre, y compris ses biotes, sa lithosphére, son hydrosphére et son
atmosphère, ou l'espace extra-atmosphérique. (...) "