L'enquête officieuse
Les attentats du 11 septembre 2001 ont marqué un tournant
dans l'histoire du monde. L'enquête devrait nous dire vers quelle direction les
auteurs de ces atrocités voulaient nous faire bifurquer en frappant de la sorte
des symboles de ce que certains appellent le "monde libre". Pour cela,
il faudrait déjà que l'on trouve les vrais responsables, et non pas une tête
de turc qui en l'occurrence serait soudanaise...
Une enquête officielle rondement menée
Dés le premier jour, le courroux des services de renseignement américains,
allemands, français, britanniques et israéliens convergent vers l'accusé-condamné
a ramener « mort ou vif » sur le territoire où il est
sensé avoir commit ses méfaits, malgré qu' « aucune de ces
agences de renseignement ne dispose toutefois d'éléments de preuve »
(AFP/12-09-01). Le secrétaire américain à la Défense Donald Rumsfeld affirme
que « Si Ben Laden n'était pas là, l'organisation continuerait à faire
ce qu'elle a déjà fait. Le problème dépasse donc largement la personne de
Ben Laden ». Alors dans quel intérêt mobilise-t-on autant d'hommes et
de matériels en direction d'un territoire et d'un seul homme ?
C'est alors que nous assistâmes à une enquête officielle dont
l'efficacité contrasta étonnement avec la léthargie qui la précéda. Les
services secrets se sont laissés surprendre par une des pires catastrophes
préméditées
qui soit arrivée sur le territoire des Etats-Unis. Et pourtant, en moins
d'une semaine, un exemplaire du Coran, une cassette vidéo expliquant le
pilotage d'un avion de ligne et un calculateur de consommation de carburant ont
été trouvés dans deux sacs destinés au vol 11 d'American Airlines qui s'est
écrasé sur le World Trade Center, un passeport d'un des pirates de l'air
présumé
est retrouvé près des ruines du World Trad Center, et 170 personnes, pour la
majorité de confession musulmane, sont
recherchées par le FBI.
Ces preuves bienvenues s'assemblent de telle façon que la culpabilité de
Ben Laden en devient une évidence.
Les esprits chagrins s'étonneront qu'après un crash aussi terrible suivi d'une explosion quasi instantanée, on se
surprenne à retrouver le passeport d'un des pirates à quelques mètres des
ruines.
D'autres trouveront suspect le contenu d'un des bagages des pirates qui n'a
pas suivi la
correspondance prévue. On peut admettre que, même
pour un dernier voyage, le pirate kamikaze qui veut se fondre dans la masse se
soit pourvu de quelques effets. On comprend beaucoup moins facilement qu'il le
fasse avec une panoplie d'accessoires qui aurait forcément éveillé
les soupçons en cas de fouille impromptue. La présence d'un Coran dans
la soute n'est pas surprenante si l'on admet la logique fondamentaliste. Mais quel
intérêt de s'encombrer d'une vidéo et d'un calculateur qui ne vous
serviront à rien, si ce n'est à risquer de vous faire rater votre entreprise ?
" Penttbom "
Est-ce pour aiguiller les chercheurs indépendants que les responsables de
l'enquête sur ces attentats l'on surnommé Penttbom. « Pent »
est l'abréviation de « Pentagone », les deux « t »
rappellent les tours jumelles du World Trade Center, et enfin « Bom »
est la contraction du mot « bombe ». Aurions nous affaire à autre
chose qu'à quatre avions de ligne détournés par des terroristes ?
Une étude plus détaillée de la façon dont se sont déroulés les événements
au World Trade Center semble nous conforter dans cette hypothèse.
A 8h45 un
Boeing 767 s'écrase quasiment en plein centre du dernier tiers de la tour
nord.
A 9h03 un Boeing 757 s'écrase sur la tour sud. Son angle d'approche
aura pour effet de disperser une grande quantité de carburant à l'extérieur
du bâtiment, comme le montrent les graphiques.
Les experts se succèdent alors pour nous expliquer que, bien que les
tours n'aient pas été prévues pour supporter le choc d'aussi gros avions, c'est principalement l'échauffement de la
structure qui les a fait s'effondrer . L'incendie qui a suivi l'embrasement du kérosène a fragilisé
les matériaux, et le poids des étages supérieurs ne pouvait plus être
supporté par les poutres métalliques affaiblies sous l'effet de la chaleur.
Mais on a du mal à comprendre pourquoi c'est la tour sud, celle qui a été
la moins touchée, celle dont le kérosène s'est en grande partie consumé à
l'extérieur, qui s'effondre en premier à 9h50. Non seulement
cette tour fut la moins touchée, mais en plus elle fut percutée en second !
Ces tours étant identiques, la logique aurait voulu que ce soit la tour qui ait
hérité du maximum de kérosène, de l'impact le plus centré, et du plus
grand laps de temps de consumation qui s'effondre la première.
Plan en coupe d'une tour :
les poutres porteuses sont colorées en rouge.
Les tours sont construites sur un système de poutres porteuses situées sur le périmètre
des bâtiments. Les éléments internes servent à supporter le réseau d'ascenseurs.
Les tours ont été touchées sur une seule façade pour la tour nord, en
coin pour la tour sud. Malgré qu'ils aient subit des chocs situés à des endroits
singulièrement différents de leur structure, ces bâtiments se sont effondrés
sur eux même. Là encore, la logique aurait voulu que les édifices basculent
respectivement du côté où ils ont été le plus fragilisé.
Les réseaux financiers de la famille Ben Laden
Depuis 1980, la plupart des activités internationales du groupe soudanais Ben Laden
sont gérées à travers les bureaux Genevois de la Compagnie d'Investissement
saoudite (SICO - Saudi Investment Company) qui a été établi le19 mai 1980. Cette société contrôle une centaine de sociétés offshore dans la
plupart des paradis fiscaux, et des filiales qui développent des activités dans
le transport maritime et dans le secteur immobilier. Elle est en relation directe avec la
maison mère qui est installée à Djeddah.La
SICO étant ses ramifications de Londres jusqu'à Curaçao. La branche de Curaçao,
établie en 1984, s'occupe de l'association du groupe Ben Laden avec la société
américaine Daniels Realty (Daniels Realty Corporation - Duspic), une partie du
conglomérat de la société Fluor. C'est en partie à travers le l'influence
des Ben Laden que le groupe Fluor fut un des destinataires majeurs des contrats
de reconstruction au Koweït.
Localisé au 13 de la rue Ceard, la compagnie est présidée
par Yeslam Ben Laden. Les membres du comité sont
Béatrice Dufour, Baudoin
Dunant et el Tilouine Hanafi.Béatrice
Lafour est la belle-soeur de Yeslam Ben
Laden. Elle est d'origine iranienne et
est mariée à un financier suisse.
Baudoin Dunant, un Suisse Francophone à la tête d'un cabinet
d'avocats, fait partie du conseil de direction de plus d'une vingtaine de
compagnies à Genève, Fribourg, Morges, Nyons, etc. On parla de lui en 1983,
quand il représenta le banquier suisse François
Genoud. Genoud, un admirateur d'Hitler et héritier des droits d'auteurs de
Gobbels, avait aidé au
financement du FLN pendant la tutelle algérienne et a été jugé pour
participation dans des actes de terrorisme international.
C'est dire qu'on n'assiste jamais, à des financements en
ligne directe entre les puissants bailleurs de fonds et les mouvements radicaux
ou plus modérés, vecteurs de l'activisme islamiste. Ces opérations ne
donnent pas lieu à des traces écrites, à des bordereaux ou à des versements
dûment enregistrés par le Board et les conseils d'administration de ces
instituts bancaires.
Richard Labéviére,
journaliste et auteur d'un livre intitulé La Terreur.
En dépit de quelques tentatives récentes (en particulier
avec le groupe suisse Contraves), la famille Ben Laden n'a jamais été
impliquée directement dans des contrats d'armement et n'a jamais été déterminée
à ajouter cette activité à son portefeuille. Néanmoins,
alors que le groupe Ben Laden ne négocie pas directement dans les armements, il
a une présence évidente dans les grands contrats de construction militaire
apparentés. À présent, son contrat le plus important est celui concernant l'Aéroport
de Riyad, à travers l'intermédiaire de la compagnie aéronautique Al Salam.
Et
Oussama Ben Laden, dans tout ça ?
On dit d'
Oussama Ben Laden qu'il n'investirait jamais dans des pays non
islamiques. Il n'utiliserait jamais des banques à moins que ce fût absolument
nécessaire. Il ne croit pas dans la bourse parce qu'il pense que
l'investisseur ne peut pas s'échapper du plaisir des intérêts à partir du
moment où l'argent est dans une banque et produit quelque intérêt. Il est
aussi préoccupé avec l'idée que les Juifs contrôlent les banques et la
bourse
1.
Pourtant
Jamal Ahmed Al-Fadl a divulgué des détails de plusieurs comptes
bancaires en Europe, en Asie et au Soudan qui contiennent des fonds du groupe
terroriste de
Ben Laden,
Al Qaeda. Une ramification menant à la banque
Barclays
de Londres aurait également été identifiée
2.
La confrérie des Frères musulmans correspond quant à elle au cadre
énoncé par Ben Laden. Elle dispose d'une des banques islamiques les plus
importantes, la banque Al-taqwa (La piété), qui a son siège aux Bahamas.
Cette banque finance des projets de développement immobilier et agricole,
ainsi que les frères musulmans d'Algérie, et principalement cheikh Mahfoud
Nahnah.
Al Taqwa est très impliqué dans le travail
d'occupation sociale, non seulement dans la grande couronne d'Alger, mais
aussi, dans l'organisation des contacts avec les Frères musulmans, non
seulement au Liban, mais aussi en Palestine, avec le Hamas, ainsi qu'en Asie
centrale par l'intermédiaire d'une ONG, Mercy International, très active
dans le trafic d'armes.
Richard Labéviére,
journaliste et auteur d'un livre intitulé
La Terreur3.
Le ministre italien de la défense,
Antonio
Martino, a déclaré que «
des organisations terroristes et des
Etats sont derrière la spéculation sur les marchés financiers internationaux4 ».
Le titre du premier réassureur mondial, le groupe
Munich Re, a perdu près de
22 % de sa valeur au cours des deux derniers mois, dont 13 % pendant la semaine
qui a précédé les attentats. La compagnie d'assurances française
AXA, la
société
Swiss Re, et les sociétés
American Airlines et
United Airlines, dont
les avions étaient impliqués dans le drame, ont souffert des mêmes opérations étrangement
anticipées.
Les spéculateurs sont soit les organisateurs
de l'attentat, soit des gens très bien renseignés qui par leurs vils
marchandages font actes de complicité. Là encore il y a une incohérence. Si
l'on se fie aux déclarations de Ben Laden, la spéculation n'est pas de mise
pour les fondamentalistes.
Alors même si Ben Laden est l'organisateur, qui sont les spéculateurs ?
Certains acteurs du marché étaient apparemment au courant depuis deux mois
qu'il allait se passer quelque chose, mais qui les a initiés ?
L'aide des Etats Unis
Le Président Jimmy Carter
du CFR (Council On Foreign Relations - Conseil des Relations Étrangères) a fait le
premier pas en organisant une guerre indirecte contre les forces Soviétiques en
Afghanistan. Dans les années 80,
Ben Laden et ses
moudjahiddin furent armés et entraînés par la
CIA et le
MI6, financés par les administrations
Reagan et
Bush (ancien patron de la
CIA,
affilié au
CFR et à la société secrète Skull And Bones) pour combattre le régime prosoviétique en Afghanistan.
Le
Président Clinton (membre du CFR) a approuvé des ventes de merveilles technologiques à la Syrie,
dont l'Islam radical hérita inévitablement. Clinton écarta aussi le principe
d'une action militaire contre Oussama ben Laden, bien que de hauts responsables
de l'administration américaine aient reçu des renseignements précis le localisant.
L'aide financière officiellement destinée
aux taliban afin qu'il fasse disparaître le
pavot se poursuit encore de nos jours. L'Afghanistan, par l'intermédiaire du Pakistan, fournit à l'Europe 80 % de la
morphine qu'elle consomme à ce jour.
Malgré que les Etats-Unis soient au courant que les fonds sont allègrement détournés pour des fins belliqueuses, ils
persistent et se trouvent ainsi être la plus grande source financière du monde pour l'Afghanistan avec un volume d'aide qui se
montera à plus de 132 millions de dollars cette année.
Nous ne ferons aucune distinction entre les terroristes qui ont perpétré ces actions et ceux qui les protègent.
George W. Bush
dans un discours à la nation le mardi 11 septembre 2001.
Même si l'implication de
Ben Laden dans
les attentats du 11 septembre 2001 est confirmée, elle ne fera qu'accentuer la culpabilité des services de
renseignements et des responsables gouvernementaux face à cette incitation à
l'illégalité. La politique d'ingérence militaire américaine ne pourra
pas éternellement être justifiée par une apparente « croisade »
contre un terrorisme qu'elle alimente
5.
Mais il ne faut pas s'étonner que la politique actuelle
ressemble à celles conduites par les anciennes administrations étant donné
que George W. Bush s'est entouré de conseillers de politique étrangère ayant
travaillé pour la précédente administration Bush. Le vice-président
Dick Cheney était secrétaire à la Défense, la conseillère pour la sécurité
nationale, Condoleezza Rice, a également travaillé au sein du Conseil de la sécurité
nationale, tandis que le secrétaire d'Etat Colin Powell était chef d'état-major
interarmes sous Bush père.
L'origine des conflits
Qui créa l'extrémisme islamique ?
Pendant des centaines d'années les Arabes étaient les serviteurs tranquilles
et disciplinés de l'Empire ottoman. Quand en 1917, les Anglais les ont expulsés
et se sont emparés de la Palestine. L'empire britannique, dans l'ombre de
la Round Table (Table Ronde), a approuvé une déclaration qui autorisa les
Juifs à rétablir l'état d'Israël. La communauté judaïque s'est vu
offrir ce qu'elle croyait être un refuge au moment où sévissaient les
pogroms en Europe, alors que ces derniers avaient été organisés pour accélérer
leur émigration. Alors les arabes s'opposèrent aux Juifs, suivant ainsi une
planification qu'ils ignorent eux même, et qui finalement opposera
progressivement des groupes ayant leurs propres valeurs intellectuelles et
morales6.
Après que l'Holocauste eu été
terminé, les souverains Jésuite du Vatican, avec l'approbation Allié, ont
organisé la fuite des plus mauvais des criminels du génocide mondial vers l'Amérique
du Sud à travers la bien nommé " ratline ". Les Juifs d'Europe, quant à eux, ont été
regroupés en Israël. Une guerre où les Juifs étaient supposés perdre a alors été lancée,
complétant ainsi la deuxième étape de l'Holocauste. Mais Israël a fait
preuve de chance et a survécu. Depuis lors, les souverains cachés de la planète
ont fait leur maximum pour transformer l'Islam en une version améliorée du
Nazisme, en commençant par la création d'une nationalité
"palestinienne" indépendante et artificielle basée sur le
terrorisme. Les deux plus importantes furent l' « Irgun Zvai Leumi » de Menahem Begin et
le « Groupe Stern » de Yitzhak Shamir.
Dans la génération qui suivi fut créé Osama Ben Laden, et les
Taliban tirés du même moule.
Et qui introduit la religion Islamique en Amérique ?
Les mêmes qui ont importé l'Islam en Europe. Aucun noir américain ne devrait s'identifier à l'Islam.
Cette religion a réquisitionné les territoires en Afrique au Moyen-âge et a
réduit sa population en esclavage. Sans négriers arabes, il
est peu probable que l'industrie européenne ait pris de l'influence. Même
aujourd'hui, les Musulmans asservissent des populations entières de noirs chrétiens
au Soudan et en Mauritanie.
En Juin 1989 A la suite d'un coup d'Etat conduit par le général
Omar Hassan
el-Bachir, les islamistes, guides par
Hassan
al-Tourabl, ancien ministre de la
Justice et membre de la confrérie des
Frères musulmans, s'emparent du pouvoir
au Soudan. Les raids esclavagistes s'accentuent
7.
En 1997 le Président mauritanien
Maaouya Ould Sid'Ahmed
Taya, a déclaré que ce qui font campagne contre l'esclavage sont
les ennemis du gouvernement
8.
La "
guerre contre la drogue ", dont le commerce fut sponsorisé par
l'
OSS et son successeur, la
CIA, a eu pour effet de remplir les prisons. Les
arrestations de Noirs ont été environ cinq fois plus nombreuses que les
arrestations de Blancs, bien que Blancs et Noirs usent de drogues à
peu
près dans les mêmes proportions. Ce racisme institutionnalisé a mis le
peuple Noir en contact avec la religion islamique au sein du système
pénitencier. Une communauté de Musulmans exaspérés a volontairement été
créée en Amérique9.
Les Etats-Unis me montrent du doigt, mais j'annonce catégoriquement que je ne l'ai
pas fait. (.) Ceux qui l'ont fait, l'ont fait dans leur intérêt personnel.
Oussama Ben Laden
Communiqué au sujet des attentats du 11 septembre 2001,
parvenu à l'AIP (Afghan Islamic Press) le 16 septembre 2001.
Un deuxième
Pearl Harbor ?
On a souvent assimilé ces événements du 11 septembre 2001 à un nouveau
Pearl Harbor. Mais la relation fut faite par les médias par rapport à la
tragédie et à la soudaineté de l'évènement. Il est intéressant de
compléter leur présentation (volontairement ?) tronquée pour essayer de débusquer les responsables cet
attentat titanesque.
Replaçons-nous dans le contexte. Le Japon a signé l'accord tripartite avec
l'Italie et l'Allemagne, avec toutes les parties qui se promettent une défense
mutuelle les uns envers les autres. Alors qu'Hitler ne
déclarerait jamais la
guerre aux Etats-Unis, quelle que fût la provocation, il n'en était pas de même
pour le Japon.
Les Etats-Unis placèrent sous embargo le pétrole et l'acier destiné au Japon,
en utilisant comme raison les actes de guerre du Japon sur les terres
Asiatiques. Cela força le Japon à envisager de s'emparer du pétrole des régions
d'Indonésie. Avec les pouvoirs européens militairement épuisés par la
guerre en Europe, les États-Unis étaient le seul pouvoir dans le Pacifique
capable d'arrêter l'invasion des Indes orientales par le Japon. En déplaçant
la flotte du Pacifique de San Diego à Pearl Harbor (Hawaï), Roosevelt a
positionné ses troupes de telle façon que toute volonté d'extension
Japonaise soit obligée de se faire après avoir fait place net sur la route qui
mène aux ressources.
Le Japon devait envahir l'Indonésie pour obtenir le pétrole
dont il avait besoin, et faire en sorte d'éliminer en priorité la menace de
la flotte américaine à Pearl Harbor. Il n'y a jamais eu, à vrai dire,
d'autres possibilités.
Des milliers de vies ont soudain été fauchées par des actes de terreur maléfiques
et méprisables (...) ces actes meurtriers à grande échelle étaient destinés
à effrayer notre nation en la plongeant dans le chaos et le repli. Mais ils ont
échoué.
George W. Bush
dans un discours à la nation le mardi 11 septembre 2001.
Le Président
Franklin Delano Roosevelt avait besoin d'une guerre.
F.D. Roosevelt, 32éme président américain, était grand maître
des
francs-maçons, membre du
CFR, et avait des liens avec le
comité des
300. Il a eu besoin de la fièvre d'une guerre majeure pour masquer les symptômes d'une économie
encore moribonde souffrant de la Grande Dépression (et subissant une mutation
en même temps vers le Socialisme).
Roosevelt voulait
une guerre avec l'Allemagne pour arrêter
Hitler, mais ce dernier l'ignorait en dépit de plusieurs
provocations dans l'Atlantique, et le peuple américain, luttant encore contre
la crise économie, était opposé à toutes guerres.
Roosevelt avait besoin d'un ennemi, et si l'Amérique ne pouvait pas attaquer
cet ennemi volontairement, alors il devrait faire croire à une attaque contre
l'Amérique.
En politique, rien n'arrive par hasard.
Chaque fois qu'un événement survient, on peut être certain qu'il avait été
prévu pour se dérouler ainsi.
Franklin Delano Roosevelt,
Président des Etats-Unis
(1933-1945)
Pour rendre le peuple américain furieux, Roosevelt a eu besoin que la première attaque patente par le Japon
soit aussi sanglante que possible. A partir de cet instant et jusqu'à l'attaque
sur Pearl Harbor, Roosevelt et ses associés se sont assurés que les
commandants à Hawaï, le Général Short et l'Amiral
Kimmel, ont été gardés
autant que possible dans l'ignorance au sujet de l'emplacement de la flotte
Japonaise et de ses intentions.
Mais comme le conseil de l'armé avait conclu en son temps, et les documents déclassés
subséquents l'ont confirmé,
Washington DC savait que l'attaque était
imminente. Il avait aussi connaissance de la position exacte de la flotte
Japonaise et sa destination
10.
Le 29 novembre, le Secrétaire d'état
Hull a montré au
journaliste
Joe Leib de
United Press un message avec l'heure et le lieu de
l'attaque, et les
New York Times dans son édition spéciale datée du 12 août
1941, à la page 13, rapporte que l'heure et le lieu de l'attaque étaient
connus d'avance
11!
Conclusion
En me basant sur les vidéos, mon
opinion est qu'après que les avions ont frappé le World Trade Center, il y
avait des dispositifs explosifs à l'intérieur des bâtiments qui provoquèrent
l'effondrement des tours. (.) Il pourrait s'agir de petites quantités
d'explosifs placées dans des points stratégiques du bâtiment.
Van Romero,
vice-président pour la
recherche à l'institut de technologie du Nouveau Mexique
12.
Ces attentats me rappellent étrangement l'assassinat de
Kennedy, dont, à l'heure où je vous parle, on ne connaît toujours pas les
vrais commanditaires. A la place de JFK vous mettez le WTC. Vous substituez
Lee
Harvey Oswald à Oussama Ben Laden. Vous échangez les preuves, à savoir le
fusil et des douilles laissées en évidence prés de la fenêtre de la
bibliothèque, ainsi que le photomontage où on le voit tenant fièrement le
même fusil, par le sac contenant le nécessaire du parfait pirate de l'air, et
le passeport du pirate trouvé au beau milieu des ruines. Vous remplacez la
balle magique par un effondrement dont la chronologie est illogique et la
précision ferait pâlir les meilleures sociétés de démolition.
Les médias comme les politiques ne se tournent que
vers un seul responsable et celui-ci, dans les deux cas, plaide son
innocence malgré son lourd passé. Les drames ne se résument pas à l'action
d'un seul homme, mais à celle d'une équipe qui, hormis des motivations
individuelles qui peuvent être différentes, sert une cause qui la dépasse.
Une enquête trop évidente pour des services secrets apparemment
pris de court, un effondrement " magique ", des spéculateurs qui sortent
d'on ne sait où, une superpuissance qui déclare la guerre à un pays dont elle finance les vicissitudes,
une confrontation de mode de vie et de pensée organisée par une puissance qui
aujourd'hui la dénonce, voilà un inventaire d'éléments qui nous laissent
penser que cet attentats est le résultat d'une suite de manipulations.
On dénonce les espaces de
libertés comme internet en prétextant que ces derniers ont servis aux
terroristes pour communiquer et répandre leur idéologie à travers le monde.
On justifie une politique sécuritaire de proximité par la menace terroriste,
alors que celle-ci vient du ciel. Le jeu des alliances et des affinités
religieuses risque de faire dégénérer ce chapelet d'hypocrisies en croisade
pour la mise en place d'un nouvel ordre mondial, ce dernier devenant ainsi
justifié. Cette élaboration, qui suit son cours depuis des siècles,
n'avantage pas forcément directement les intérêts du principal pays
instigateur, mais plutôt ceux d'une minorité de personnes nihilistes vis-à-vis de l'humanité, et qui exhorte la propension de cette dernière pour les
conflits ethniques ou religieux dans le seul but de servir des intérêts qui
échappent à l'entendement cartésien d'une majorité anesthésiée par des
enquêtes officielles.
Post-scriptum : Un peu de symbolisme
Le cercle zététique qui va jusqu'à ramener sa fraise sur
Europe 1, se ventant du fait qu'aucun astrologue n'a prévu la catastrophe et
que les prophéties de Nostradamus qui circulent sur le net sont des faux
grossiers devrait relire la Bible, et particulièrement le chapitre 18 de
l'Apocalypse de St Jean :
- Après cela, je vis descendre du ciel un autre ange, qui avait une grande
autorité; et la terre fut éclairée de sa gloire.
- Il cria d'une voix forte, disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone
la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit
impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux,
- parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et
que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l'impudicité, et que les
marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe.
(...)
- Et tous les rois de la terre, qui se sont livrés avec elle à l'impudicité et
au luxe, pleureront et se lamenteront à cause d'elle, quand ils verront la fumée
de son embrasement.
- Se tenant éloignés, dans la crainte de son tourment, ils diront: Malheur!
malheur! La grande ville, Babylone, la ville puissante! En une seule heure est
venu ton jugement!
- Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à cause d'elle,
parce que personne n'achète plus leur cargaison,
(...)
- Les marchands de ces choses, qui se sont enrichis par elle, se tiendront éloignés,
dans la crainte de son tourment; ils pleureront et seront dans le deuil,
- et diront: Malheur! malheur! La grande ville, qui était vêtue de fin lin, de
pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles! En
une seule heure tant de richesses ont été détruites!
- Et tous les pilotes, tous ceux qui naviguent vers ce lieu, les marins, et tous
ceux qui exploitent la mer, se tenaient éloignés,
- et ils s'écriaient, en voyant la fumée de son embrasement: Quelle ville était
semblable à la grande ville?
- Ils jetaient de la poussière sur leurs têtes, ils pleuraient et ils étaient
dans le deuil, ils criaient et disaient: Malheur! malheur! La grande ville, où
se sont enrichis par son opulence tous ceux qui ont des navires sur la mer, en
une seule heure elle a été détruite!
Je vous fais aussi part de ces quelques calculs élémentaires
qui nous ramènent souvent au même nombre, le 11 :
- La date de l'attaque: 11/9: 9 + 1 + 1 = 11
- Dans les pays anglo-saxon on note la date sous la forme
mois/jour, ce qui nous donne 9/11, ou 911, le numéro des urgences aux Etats
Unis.
- Le 11 septembre est le 254ème jour de l'année: 2 + 5 + 4 = 11, et après le 11 septembre il reste 111 jours d'ici la fin de l'année.
- 119 est le code régional de Iraq/Iran. 1 + 1 + 9 = 11
- Les Twin Towers - debout côte à côte font un 11
- Le premier avion qui a frappé une tour est le vol 11
- L'état de New York est le 11ème état à joindre l'Union.
- New York City - 11 Lettres / Afghanistan - 11 Lettres / The Pentagon - 11 Lettres
- Ramzi Yousef - 11 Lettres (celui qui a attaqué le World Trade Center en 1993)
- Vol 11 - 92 à bord - 9 + 2 = 11 / Vol 77 - 65 à bord - 6 + 5 = 11
Incroyable ? Et, ce n'est pas tout !
- Le vol 93 de United Air Lines avait à bord 38 passagers et 7 membres d'équipage: 38, 3 + 8 = 11
- Le vol 175 avait à son bord 56 passagers et 9 membres de l'équipage: 56+9 = 65, 6 + 5 = 11
- Les deux avions comptaient au total 110 passagers (11-0)
- Chacune des tours comptaient 110 étages (11-0)
- L'avion présidentielles Air Force One était une autre cible visée : Air Force One = 11 lettres - George W Bush = 11 lettres
- Il semblerait que la deuxième guerre mondiale ait débuté
exactement le 11 septembre...
Je vous livre en vrac quelques photos non
manipulées
évoquant une présence... satanique ? :
________________________
Sources :
1 http://www.pbs.org/wgbh/pages/frontline/shows/binladen/who/bio2.html
2 http://www.scotlandonsunday.com/index.cfm?id=SS01035936&feed=N
3 Le Soir d'Algérie ; http://web.archive.org/web/20020608201357/http://www.lesoirdalgerie.com/html/2001/01/23/algerie/algerie.htm#art1
4 Le Monde, L'enquête s'élargit à des mouvements suspects sur les marchés
boursiers précédant l'attaque, 17-09-01. http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3222--222400-,00.html
5 http://www.wsws.org/articles/2001/sep2001/terr-s12.shtml
6 http://web.archive.org/web/20011031031807/http://www.toogoodreports.com/column/general/chamish/091701.htm
7 Soudan : Les enfants esclaves
8 MAURITANIE,
Graves atteintes à la liberté d'expression et d'association, Amnesty International, 1998, p4
9 Nexus, n°2, Prisons et profit économique mondial par Eve Goldberg et Linda Evans
10 http://web.archive.org/web/20091027030139/http://www.geocities.com/Pentagon/6315/pearl.html
11 Vous trouverez de nombreux autres exemples de manipulation du même style à
cette adresse : http://www.whatreallyhappened.com/ARTICLE5/index.html
12 Albuquerque Journal